François :
Le big problème avec Spinoza, c'est qu'il nie le libre arbitre de l'être humain.
Spinoza est un fataliste. Ce fatalisme l'oppose au progrès.

Spinoza recherche à la fois le bonheur individuel et collectif.

Pour lui la liberté se trouve dans la connaissance de la nature dont son Dieu (immanent) est l'ordonnateur.

Spinoza est un grand psychologue. Il a deviné que le moteur principal de l'homme est.. le désir. (on dirait, aujourd'hui la motivation)

Mais les hommes sont (fatalisme) soumis passivement aux forces de la nature (où Dieu se trouve mélé), et à leurs passions.
Ces contraintes déterminent donc un cadre de notre liberté. Nous sommes en liberté encadrée..
Il importe donc (pour être heureux et libre) de suivre sa raison, et non ses passions.
Et, alors, cette "vraie" liberté nous conduit à la béatitude. Inch Allah !