que dire de plus ...Provient du message de francois2
personne n'est assassin puisque la victime était déja potentiellement morte
merci francois.
de crieur.com :
Il y a meurtre quand celui ou celle qui meurt n'était pas au courant, comme dans Colombo, du nom de son assassin dès le début du feuilleton.
Sinon, ça s'appelle un suicide, puisqu'il le connaissait le nom ! Vu que c'est le sien !
Si le mort ne se souvient, ni de son propre nom, ni de celui de l'assassin, ça s'appelle un accident. Mais c'est vachement rare de pas se souvenir de son nom.
C'est pourquoi il y a beaucoup plus de suicides que d'accidents.
que dire de plus ...Provient du message de francois2
personne n'est assassin puisque la victime était déja potentiellement morte
merci francois.
je t'ai oté les mots de la bouches désolé
Réponse de chien je trouve ( cynique j'entends )
Remarque : chacun de nous est un peu potentiellement mort... Avec un raisonnement pareil, on peut soulager bien des consciences.Provient du message de francois2
personne n'est assassin puisque la victime était déja potentiellement morte
N'est-ce pas la définition que cherchait corinthe ?
assassin : nom commun, m., se dit de celui qui hâte une mort qui aurait dû, de toutes manières, arriver un jour ou l'autre.
juge : nom commun, m.,
1. fonction de celui qui trouve le précédent l'a hâtée un peu vite (mais peut-on hâter lentement ?) et constate que cette précipitation s'est faite en dehors de la loi.
2. empêcheur d'assassiner en rond.
avec la remarque de francois2 on voit assez bien, je trouve, comment le raisonnement base sur le devenir pose un probleme.
tout a l'heure j'ai pris l'exes du devenir avec la fellation anthropophage il le prend dans l'autre sens avec le "tous deja mort".
Je ne dit pas que cela remet en cause ton raisemnnement pascal, mais cela pose toujours le probleme de la limite .
Ton choix peut etre, comme le mien d'ailleurs, concidere comme arbitraire.
C'est une opinion, elle se base sur la realite, c'est vrai, mais cela reste une opinion ...
Peut on reellement se mattre d'accord avec deux opinions divergentes ?
(et comme dirait Desproges ... nos opinions divergent ... et dix verges, c'est ennorme )
Si la définition d'assassin est bien : Auteur d'un meurtre avec préméditation.
Un avortement est un.. assassinat.
Ou, alors, il aurait fallu démontrer qu'avant 11 semaines le foetus n'est pas un humain..
Et, que pile poil, à l'instant "t"de la fin de la 11 ème semaine, le foetus devient subitement un être humain.
Sinon, on peut avorter la.. 12 ème semaine.. etc.
Non ?
oui c'est exactement sur ce probleme de limite que l'on argumente ...
Le "etc" cache une nouvelle fois un raisonnement faux. etc, etc... Bcp d'etc plus tard, on se retrouve à la mort. Encore un argument qui ne passe pas à la limite.Provient du message de Corinthe
Si la définition d'assassin est bien : Auteur d'un meurtre avec préméditation.
Un avortement est un.. assassinat.
Ou, alors, il aurait fallu démontrer qu'avant 11 semaines le foetus n'est pas un humain..
Et, que pile poil, à l'instant "t"de la fin de la 11 ème semaine, le foetus devient subitement un être humain.
Sinon, on peut avorter la.. 12 ème semaine.. etc.
Non ?
Au contraire, cet ETC montre bien dans quel engrenage nous avons mis le doigt en cassant la morale et l'éthique.
Nous nous sommes substitués au mythe de "dieu". (Créateur de la vie et seul détenteur du droit de mort.). Ce pur matérialisme risque de nous entrainer vers des abîmes.
C'est pourquoi les sociétés humaines ont besoin de mythes pour survivre.
Corinthe,
ce qui distingue l'assassinat de l'avortement provoqué n'est pas le fait qu'il y ait ou pas un être humain, car la loi Veil concerne, de son propre aveu, un être humain dont la vie a commencé. Ce qui les distingue, c'est que l'avortement est légal jusqu'à 12 semaines.
L'assassinat est un avortement qui est provoqué au delà de ce délai légal.
Pour le reste, ton analyse me semble très lucide.