Voyons les choses en face : n'ajoute-t-on pas à la douleur de la femme la conscience d'avoir tué une vie qui grandissait en elle ?

Je n'accepte pas une alternative du type : aider la mère ou aider l'enfant. Je crois que ce n'est pas en tuant l'enfant que l'on aide la mère : il faut laisser l'enfant vivre et aider la mère à le faire vivre.
pascalcg,
euh.... "la conscience d avoir tue une vie qui grandissait en elle".... mouais.... ben peut etre que toutes les femmes ne considerent pas un tas de cellules resultant d une bonne partie de jambes en l air mal protegee comme "une vie qui grandit en elles".

Ah Ah Ah les monstres....

Ne pas reconnaitre, d autre part, que le probleme de l avortement est lie a une question de delimitation de ce qu'on peut appeller un individu vivant..... et, sans egard aux moindres donnees scientifiques, se rabattre sur la notion de dignite humaine.... c est une bete erreur de logique.