Je ne serais pas étonné si de nouvelles idées avaient muri dans ta tête (d'où ta volonté de reprendre le débat depuis le début !).
Je synthétise :
Je me souviens avoir objecté à ton idée de départ que l'homme est conscient de sa finitude et que le problème est simplement la notion du temps mal évalué qui nous leurre et nous laisse croire que la vie est longue (mais pas infinie).
Nous étions, par la suite, tombé d'accord sur une chose :
Prendre conscience de la valeur de la vie serai un pas vers une forme de sagesse qui nous motiverai à ne pas nous perdre en futilités et à utiliser notre temps à ce que nous jugeons essentiel (de manière subjective).
T'as du neuf à rajouter ?
Penses-tu que nous nous sommes écartés du sujet ?