Il paraît que nous abritons des pulsions de mort.
Que ces pulsions avancent masquées lorsque nous agissons et ne se dévoilent que lorsqu’il est trop tard…
Il paraît que nous ne sommes pas ce que nous croyons être et que lorsque nous nous rencontrons parfois l’effroi peut naître.
Il paraît que pendant les guerres la plupart d’entre nous se transforment en bête féroce…
J‘ai entendu dire que le livre « La bête humaine » d’Emile Zola, fut suivit d’un film avec Jean Gabin qui ne déparait pas du précédant et que tous les deux traitaient du sujet qui te préoccupe.
Aurais-je enfin appris que c’est souvent en toute bonne conscience qu’on commet le pire ?