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Discussion: sur les maladies psychologiques: par exemple La schizophrénie. une pbmatique (ES)!!

  1. #1
    Loudu Guest

    Smile sur les maladies psychologiques: par exemple La schizophrénie. une pbmatique (ES)!!

    slt à ts ! je suis en terminale ES et je veux faire un sujet sur les maladies psychologiques: par exemple La schizophrénie.
    quelle genre de pbatique serait interessante ?? es ce que ce genre de pbatique pourrait convenir: "le gouvernement actuel prend il en compte ces personnes ds la société ou bien les rejette elles?"aidez moi sil vs plait donnez votre avis! merci bcp !

  2. #2
    géo Guest

    Par défaut

    d'abord, se documenter:

    problème: comment sortir la schizophrénie de l'ombre
    Cette maladie qui touche plus de 1 % de la population se manifeste par une modification de la personnalité, et la perte du contact avec la réalité. Quelles sont les causes ? Les personnes touchées sont-elles dangereuses ? Doctissimo fait le point sur un problème difficile à vivre pour les malades mais aussi pour leurs proches.


    Reconnaître les signes

    La schizophrénie débute généralement à l'adolescence. Elle se traduit par divers signes : bouleversement de la personnalité, réaction inappropriées, mutisme, impulsions soudaines et irraisonnées***8230; Le plus souvent, des signes avant coureurs permettent de déceler le trouble avant qu'il ne s'installe.

    La modification de la personnalité

    La schizophrénie est une psychose qui se manifeste par une modification profonde de la personnalité, et la perte du contact avec la réalité. Très fréquente, elle touche près de 1 % de la population, et de façon égale les filles et les garçons.


    Il n'y a pas une, mais des schizophrénies, dont les caractères communs sont :

    L'âge de début, entre 15 et 35 ans ;
    La diminution de l'élan vital ;
    La dissociation mentale ou la discordance : c'est une rupture de l'unité psychique de la personne, qui aboutit à un bouleversement de la personnalité, à des réactions totalement inappropriées et à une indifférence devant des éléments porteurs d'une charge émotionnelle ;
    Une inhibition de l'activité mentale (perte d'intérêt) qui favorise un repli sur soi, avec apparition de fantasmes délirants ou hallucinatoires.
    La schizophrénie peut débuter de manière très différente d'une personne à l'autre. Dans de nombreux cas, la mise en place est progressive et la schizophrénie est précédée par des "états schizoïdes" qui permettent encore à l'individu de mener une vie quasi normale. Il apparaît songeur, renfermé et sujet à des impulsions irraisonnées. Il décroche sur le plan scolaire et reconnaît lui-même avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer. L'entourage essaie souvent de minimiser le caractère pathologique de ces comportements. Les troubles affectifs qui les accompagnent sont souvent attribués à une "crise d'adolescence".

    Le caractère semble changer : le jeune est morose, froid, indifférent, il n'a plus d'élans affectifs, il s'isole de plus en plus et abandonne ses investissements extérieurs, fuit la compagnie de ses camarades et se montre irascible, hostile. Ses bizarreries deviennent plus nombreuses, son regard se dérobe. Il sourit sans raison ou esquisse des mouvements dont on ne perçoit pas la cause. Sa sexualité est souvent perturbée.

    Il arrive que l'adolescent lutte instinctivement contre la dépersonnalisation qui le menace, et qu'il s'attache alors à une idée, un concept religieux, un idéal politique ou un système philosophique, autour duquel il tente de se "rassembler". Mais il apporte dans cette foi une confusion d'esprit ou un rationalisme systématique jusqu'à l'absurde qui révèle la profondeur du trouble mental.

    Un tiers des schizophrènes ne passent pas par les phases préliminaires et s'installent rapidement dans leur délire. Dès lors, ces malades sont plongés dans une indifférence absolue. Ils éprouvent parfois l'impression d'être dédoublés.
    Une fois la maladie installée, le schizophrène ne parvient même plus à vérifier sa propre réalité. Il sourit à des sujets graves, n'achève pas ses gestes ou les rend mécaniques comme ceux d'une marionnette. Il croit qu'on lui dérobe sa pensée, qu'il entend des voix ou toute autre manifestation délirante. Le plus souvent, il ne peut, pas mettre en doute son délire qui peut parfois le conduire à effectuer des actes absurdes.

    Quelles sont les causes ?

    La cause est actuellement inconnue. Cependant, il existe des familles dans lesquelles ce trouble est plus fréquent, ce qui met vraisemblablement en jeu un facteur génétique. Des facteurs environnementaux, viraux et biologiques sont aussi probablement en cause. L'origine du trouble serait donc multifactorielle.

    Quels sont les traitements ?

    Il est souvent nécessaire d'hospitaliser ces personnes, parfois en urgence, en particulier au début de la maladie. Les médicaments neuroleptiques peuvent atténuer les symptômes. Une psychothérapie et un suivi dans une structure de soins permettent également d'aider le schizophrène.
    Dernière modification par géo 06/10/2004 à 19h04

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