1) Toute vérité nous envoie à une autre. Sinon, la limite de la vérité serait une non-vérité où celle-ci trouverai son début et sa fin. Le faux engendrerait le vrai, et le vrai, le faux.

2) Les vérités, n’importe lesquelles, nous conduisent alors, à travers un enchaînement infini, à la vérité suprême et intouchable, qui est Dieu.

3) Affirmer une seule vérité, n'importe l'aquelle, et non seulement de nom, suppose une négation de la limite qui l'annulerait, affirmer infini de la progression et par conséquence, affirmer à Dieu.

4) Donc, même si cette supposée vérité serait "Dieu n'éxiste pas", en la prêchant comme vrai, d'elle ont peut suivre que Dieu, c'est à dire la vérité, existe.

5) Mais, si Dieu existe, la prémisse précédente est fause et s'il n'existe pas, aussi, puisqu'il n'existe pas la Vérité ni non plus les vérités. Donc, d'une façon ou d'une autre, Dieu existe.

Daniel.


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