Un petit ouvrage sur la reconnaissance, de Fishbach, intitulé la reconnaissance de Fichte à Hegel, très facile d'accès.
Pensez aussi sinon à toutes les pièces de théâtres antiques, et à Ulysse pour le drame de la reconnaissance.
Aussi à Descartes et à son cogito...
A Kant et à son transfert a priori
Vient de paraître: Parcours de la reconnaissance de Ricoeur
=> Le terme peut être pris au sens cognitif. Voir Bergson, Matière et mémoire, pages 98 à 105
ou encore
=> Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, page 473.
Le terme peut désigner aussi le contraire de la méconnaissance: si dans la méconnaissance je traite l'autre comme un objet, dans la reconnaissance, je le traite comme un sujet, comme une personne, celle que je suis moi même.
De la distinction du corps objet et du corps sujet, vous pouvez tirer la fréquence d'une lutte pour la reconnaissance (Hegel)
Evidemment il est toujours possible de tenter de relier le sens cognitif et le sens moral.
Reconnaissance a aussi le sens de gratitude.
Bien lire cette page: La consolation, question de méthode!
http://www.philagora.net/dissert2/consolation.php
Recevoir les nouveautés! (gratuit) http://www.philagora.net/abonne.php
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir