Parallèlement au livre magnifique de Jankélévich, une question très ténue quasi illégitime se pose:

Y a-t-il un espace de non-vérité dans le discours philosophique?

Peut-on reconnaître dans les interstices du discours spéculatif une zône de non-droit pour la raison, zône qui se révèle pourtant étrangement féconde d'éléments de connaissance?


Ce je-ne-sais-quoi, ce "presque rien" qui fourmille entre la caverne platonicienne et le monde des idées, un monde limbique entre l'Enfer et le Paradis?