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Discussion: lumière et temps

  1. #11
    bobjol Guest

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    Provient du message de Fibule
    la nuance est de taille
    oui c'est vrai j'ai mal lu je suis désolé, c'est vrai que la nuance est grande !

    oui c'est ça le Tachyon !

    J'ai vraiment hâte de lire ces traités quand même...ça changerai de ce qu'on nous apprend au lycée...

  2. #12
    bulletin Guest

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    Sans notions mathématiques, ta hate sera brève et ta halte prolongé

  3. #13
    bobjol Guest

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    Provient du message de Fibule
    Sans notions mathématiques, ta hate sera brève et ta halte prolongé
    mon prof de maths m'a dit qu'il me donnerai une liste de livre, élaboré par des physiciens certe, mais plutôt basés sur les conceptes et non les notions mathématiques...
    (je lui fais confiance, lui qui est un chercheur (et qui a déjà reçu des prix en mathématiques) doit savoir de quoi il parle )

    donc ça devrais pouvoir passer même sans les notions qui me font défault...mais j'ai hâte !

  4. #14
    Date d'inscription
    December 2003
    Messages
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    bonjour à vous,

    ce sujet m'interesse beaucoup , malheureusement je n'ai pas les connaissance requise pour pouvoir en parler...
    si tu pouvais me faire part de cette liste de livres...


    merci d'avance

  5. #15
    bobjol Guest

    Par défaut liste de livres

    oui, quand je l'aurai oui je la publierai ici même

  6. #16
    LIcares Guest

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    Salut à vous

    Non, la vitesse de la lumière n’est pas indépassable. Certaines expériences récentes
    ont démontré l’existence de signaux lumineux « supraluminaux », i.e. se « déplacant »
    plus vite que la vitesse de la lumière. Ces expériences sont effectuées dans certains matériaux.
    Il également possible de faire que la lumière se déplace très lentement (quelques mètres
    par seconde) dans d’autres matériaux. Mais attention ! il y a une nuance, que je n’ai pas
    encore complètement saisi (je peux regarder si quelqu’un est intéressé). Il est toujours
    impossible de transférer de l’information plus vite que la lumière. La causalité n’est pas
    remise en cause. Et je crois avoir compris que ces expériences ne sont pas applicables
    à la matière.

    Prynn

  7. #17
    Date d'inscription
    January 2004
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    Paris
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    Voici une petite contribution que tout le monde peut se procurer puisqu'elle est issue d'un site internet.
    Alors, je vous la transmets mes amis.
    Je crois qu'elle pourra répondre de façon plus précise à l'intérêt qui nous réunit ici : comprendre notre environnement et surtout parler entre-nous de tout cela, de ce que nous en savons mais aussi de ce que nous n'en savons pas encore.


    Je cite :

    " Alors que tout semblait pour le mieux dans le plus euclidien des mondes, l'avènement de la relativité, restreinte et générale, a porté un rude coup à notre vision géométrique classique de l'univers. En cause : le temps et la matière, qui chacun à leur manière, déforment l'espace. Impossible de nous situer dans l'univers ! La relativité nous apprend que les différents points ne peuvent se repérer que les uns par rapports aux autres.
    En quelque sorte, chacun est comme au centre du monde, mais aucun n'est privilégié.

    Le temps dépend-il du référentiel choisi ?

    Comme la science nous situe-t-elle dans l'univers ? Où sommes-nous ? La théorie de la relativité répond que nous sommes ..." là où nous sommes " ! Ce résumé lapidaire peut sembler grossièrement insuffisant et caricatural ; en vérité, la formule est infiniement plus riche et profonde qu'elle ne le laisse paraître . Ainsi, dire que " nous sommes là où nous sommes " revient à affirmer que nous n'avons aucun moyen, aux yeux de la science, de nous référer à un repère extérieur. Nous ne pouvons que partir de là où nous sommes : l'exploration de l'univers commence ici. La théorie nous replace pour ainsi dire au centre du monde, après nous en avoir délogé, comme on le sait au siècle de Copernic. A ceci près cependant qu'elle nous place au centre d'aucune structure, " centre " ne signifiant ici que point de départ, origine choisie pour mesurer les distances, non centre d'un certain volume préétabli.

    La théorie de la relativité nous commande l'abandon définitif de tout cadre, de toute armature de référence, à laquelle nous pourrions nous raccrocher et où nous pourrions nous situer. Cette renonciation à la donnée d'un repère absolu nous plonge dans le relatif le plus total et justufie ainsi pleinement le nom de " relativité " donné de la théorie.
    La relativité peut être restreinte ou générale. Nous n'aborderons que la première, énoncée par Einstein en 1905. Mais auparavant, hypothèses, théories et autres postulats ont été formulé, Einstein s'en inspirera fortement. Ainsi, ce concept de relativité est issu du principe de Galilée, s'appuie sur l'édifice solide de la mécanique newtonienne, utilise la transformation de Lorentz, et repose sur un formalisme mathématique d'un espace-temps à quatre dimensions, établi par Minkowski. De même Michelson et Morley y ont contribué en réfutant la présence de l'éther jusque-là défendue par Maxwell.
    Exploitant toutes ces richesses, Einstein pourra alors clore ce débat. Nous verrons ainsi que le principe de relativité rejette l'existence d'un référentiel absolu, infirmant donc l'existence de l'éther, et postule l'identité des lois physiques dans tous les référentiels inertiels, dits galiléens. La célérité de la lumière, en particulier, est finie et constante dans tous les référentiels. Une autre conséquence capitale de la théorie de la relativité restreinte est l'équivalence masse-énergie. "


    Voilà fin de citation. J'ai trouvé là ce texte qui me permet, à tarvers un substratum de références scientifiques (certes sans formules) d'appuyer et d'étayer mon précédent propos.
    Dans tous les cas, ce texte et sa mise en perspective rejoint exactement l'idée que je me fais de "la lumière et de la vitesse" et de leur intrication (au niveau notamment de la masse volumique de l'univers).
    La relativité du temps et cette perte d'un référentiel absolu, rejoint, d'une certaine manière, mon propos sur la subjectivité du temps (cf. l'expérience de la grotte sous terre).

    " Là où nous sommes " !

  8. #18
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    January 2004
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    Bonsoir,

    Sauf respect à mon détracteur, j'avoue que je ne comprends pas très bien la finalité du ton employé. Mais, je ne ferai en aucun cas mienne cette tonalité, car tel n'est pas la raison de ma présence ici sur ces forums.

    Dans tous les cas, je pense qu'il faut et que l'on peut remercier cependant ce détracteur pour les précisions qu'il apporte du côté d'une recherche de la vérité.

    Si, de façon maladroite, tel était son objectif, approcher la vérité, alors il n'est pas à blâmer.

    Pour ma part, je me suis fait le passeur d'un TPE de classe de première scientifique dont je vous donne le lien internet pour que vous puissiez vous-même aller à la source de la compréhension des choses : http://www.chez.com/relativiterestreinte/Intro.php, ceci bien entendu à taper sur le moteur de recherche google.

    Merci de votre lecture.
    L'essentiel, n'est-il pas de poursuivre l'exploration ?

  9. #19
    Date d'inscription
    January 2004
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    Si ce lien ne fonctionnait pas, il vous faut alors taper tout simplement " relativité restreinte " sur google et cela vous y conduira (il me semble que c'est la première occurrence proposée).

  10. #20
    Date d'inscription
    January 2004
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    119

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    Bonjour,

    J'ai trouvé une référence, qui, me semble-t-il, pourra intéresser tout ceux dont ces questions sur "l'Univers" passionnent.
    Voici le lien où vous pourrez vous-même accéder à cette référence :
    http://www.dstu.univ-montp2.fr/GRAAL...nan/nature.php

    En voici d'ailleurs le commentaire qui en est fait de la Quatrième de couverture :

    " Relativité générale, modèles d'univers courbes et dynamiques, explosion primordiale, mécanique de l'atome, physique quantique, trous noirs : désormais, pour dialoguer avec l'Univers, l'homme emprunte presque exclusivement la parole scientifique. La science est-elle pour autant capable de maîtriser le réel en l'enfermant dans ses équations ? La nature est-elle vraiment soumise aux lois théoriques, comme voudraient le faire croire bien des chercheurs ? L'Univers n'est-il pas, au contraire, pleinement autonome ? N'assume-t-il pas fort bien, sans le secours d'aucun modèle abstrait, des milliards d'années d'existence ? Ne serait-il pas définitivement « autre », irréductible à nos schémas mathématiques ?

    Ces questions dérangeantes, Christian Magnan ose les poser : à lui-même, à la communauté scientifique, à chacun d'entre nous. Non pour le plaisir de la provocation, mais dans l'espoir de réconcilier l'homme avec une nature enfin reconnue « sans foi ni loi ». "

    Il s'agit donc du livre "épuisé", en version électronique complète, revue, corrigée et enrichie, de Christian Magnan, "La Nature sans foi ni loi", les grands thèmes de la physique du XXè siècke, Belfond/Sciences, Paris, 1988.

    Bonne lecture.

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