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Discussion: euthanasie

  1. #1
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    March 2004
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    Par défaut euthanasie

    Je voudrais savoir ce que vous pensez de l'euthanasie ?
    Doit-elle être rendue légale ?
    Un être humain a-t-il le droit de vie ou de mort sur un autre être humain ?
    L'euthanasie règle-t-elle vraiment les problèmes ? Je veux dire, le paralysé par exemple qui veut se donner la mort a-t-il tort ou raison de le faire, de renoncer à la vie ?
    L'euthanasie peut-elle être assimilée à un suicide ?

  2. #2
    Ellaurenzovfoot Guest

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    la question est: peut t'on faire ce que l'on veut de son propre corps?

    Je repondrais oui, puisque l'on peut le tatouer, le percer, le teindre, et plein d'autres choses que je n'imagine pas. On peut donc le fait arrêter de fonctionner si tel est notre bon vouloir non?
    Un homme paralysé qui veut mourrir a le droit non? il est bien ce qu il veut...
    Un homme qui est tenu a respirer artificiellement par une machine, a le droit de vouloir vivre nomralment et par le fait de se donné la mort, ne pouvont respirer comme il le souhaite.

    La médecine a été créé pour améliorer l'espérance de vie des êtres vivants, mais doit on pratiquer son ethique quand la personne ne veut plus avoir recours a la medecine mais a la nature?

    Je suis donc pour l'euthanasie

  3. #3
    noreil Guest

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    "le paralysé par exemple qui veut se donner la mort a-t-il tort ou raison de le faire, de renoncer à la vie ?"
    Pour ca je pense qu il n appartient qu a lui de le choisir, et surement pas aux bien portants ou bien pensants d en debattre.

    Pour l euthanasie, le seul probleme qui me semble se poser est de reussir a faire une loi intelligente qui empeche les debordements (exemple: le suis un depressif qui ne s assume pas alors je decide de me faire euthanasier au lieu de me de*****r tout seul, ou autre exemple: j ai une vieille maman riche et grabataire et je me debrouille pour qu elle se fasse euthanasier). Donc le probleme me semble etre une question de limites.

    Pour le reste, je ne vois pas de quel droit on obligerait un tetraplagique par exemple a rester en vie, avec pour seule occupation de retourner dans sa tete qu il ne peut plus rien faire, avec l impossibilite physique de se foutre en l air, et en plus avec l obligation de se repandre en gratitude envers les types condescendants qui le "gardent en vie". Bref, l euthanasie n est pas une obligation mais ca devrait etre un droit quand on n a pas la capacite physique d en finir.

    Finalement quelle est la limite entre la contrainte de rester en vie pour le bon plaisir des autres et la torture?

  4. #4
    ki ss je Guest

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    L'ethanasie, c pa un sujet facile. Effectivement, il peut y avoir des debordements si une loi passe, mais pk ds certains cas, la mort serait un recours alors ke dans d autres, on l interdit. Un gars paralisé ki veut mourir, daccord pk pas, c ton choix, mais ds ce cas la alors, le gars depressif qui parvient pas a se de*****r il a aussi droit sur sa propre mort.
    Pk cela serait different selon le cas. Et puis kom vous le dites si bien, chacun a le controle de son propre corps, kelke soit les circonstances c la personne ki decide.

  5. #5
    Zitune Guest

    Par défaut J'aime la vie.

    J'aime la vie !
    Oui, c'est banal, mais j'aime vraiment la vie, le silence de la campagne, le bruit de la ville, les ptits bonheurs, les petites contrarietes.
    Les gens que l'on hait, les personnes qu'on aime.
    Je m'aime moi et le monde tel que je le voit a travers mes yeux.

    Je suis jeune, beau, intelligent et plein de vie (Pretentieux ? ... non megalo, comme toute personnes).

    J'aime la vie et donc je veux etre libre de mourrir !

    Pas pour finir cette vie que j'aime tant mais au contraire pour continuer a l'aimer.

    Continuriez vous a baiser si chaque penetration vous arrachait des cris et des larmes, si vous ne ressentiez plus rien que de la douleur ou de l'indifference.

    Non ! vous iriez vous taper une bonne bouffe a la place, vous arreteriez simplement, sans regret, sans remort.

    La vie c'est comme le sexe (et vice-versa) c'est bon tant qu'on continue a vibrer.

    Alors quand ma vie aura cesser de me faire vibrer, quand tout n'aura plus que le gout putride de la souffrance. Quand la joie m'aura quitte et que mon corps m'aura trahi, Pitie, vous pour qui j'ai de l'importance, laisser moi partir sans ressentir le remord de vivre.

    Et vous qui ne me connaissait pas ... Laisser moi dans votre indifference...
    FOUTEZ MOI LA PAIX

  6. #6
    finou Guest

    Wink ptit poème

    l'eutahansie est en efet un sujet assez délicat pour les raisons que vous avez déjà exposez ci dessus. Voici un poème (pas de moi) qui propose une reflexion sur ce sujet à vous devoir après

    La délivrance

    On lui dialyse la vie, on lui retarde la mort
    Petit être en sursis, ne pleure pas sur son sort.
    Quotidien artificiel en milieu stérile
    Ou l’existence en sommeil d’un gosse trop fragile.
    Une lueur d’espoir que fait briller la fièvre
    Dans son dur regard noir que la pitié énerve
    Mais la souffrance glacée donne envie d’en finir
    Et ce combat sacré n’a maintenant plus d’avenir
    Il choisit l’au-delà comme on rendrait les armes.
    La mort lui tend les bras, il lui ouvre son âme.
    Mais la vie le retient, alors il supplie
    Ce convoité repos divin : l’euthanasie.
    Elle arrive enfin, délivrance sublime
    Provoquée par cette main... est ce vraiment un crime?

  7. #7
    ki ss je Guest

    Par défaut

    je s spr leuthanasie, tt d'abord, chacun est libre de decider de sa mort, c'est le libre arbitre, ensuite, à quoi cela sert à une personne de rester allongé sur un lit sans rien pouvoir faire, maintenu artificiellement par des machines, en attendant le moment ou la mort viendra les chercher, si cela convient à certain malades, d'autre ne preferent pas l'endurer et je les comprend, je pense que je serai comme eux, autant en finir sans tro souffrir que rester des années dans un hôpital ou tu ne pe qu'esperer entrevoir les feuilles dun arbre a travers une minusvule fenetre qui donne sur la cour. Le plus dur je croi ke c pr les proches de la "victime" de devoir le laisser partir. Dc, je pense que c a la personne concernés de decider de ce qu'elle ve faire et ni son entourage ni les medecin

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