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Discussion: "Je ne pourrais croire qu'à un dieu qui saurait danser"

  1. #11
    kis Guest

    Par défaut h'ssidim

    Moi cette phrase me fait penser à la philosophie hassidique...

  2. #12
    Estelle br Guest

    Par défaut

    qu est ce que la philosophie hassidique?

  3. #13
    maïterik Guest

    Par défaut reponse importante

    Provient du message de florence1
    Aimez vous les uns les autres .... c pas mal ça aussi.
    tu viens de citer le résumé de la bible aimer son prochain ... bien! salut

  4. #14
    maïterik Guest

    Par défaut un peu d'humour 02

    : Combien d'agnostiques faut-il pour changer une ampoule ?

    R : Aucun, ils n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur l'existence des ampoules. --------------------------------------------------------------------------------

    Q : Combien d'évolutionnistes faut-il pour changer une ampoule ?

    R : 100: Un pour l'installer et 99 pour démontrer qu'elle est apparue du fait du hasard. --------------------------------------------------------------------------------

  5. #15
    Estelle br Guest

    Par défaut

    " tu viens de réciter la bible: aimer son prochain"
    nietzsche te dirait "aimer le lointain"

  6. #16
    kis Guest

    Par défaut Hassidisme et Dostoïevski (je ne suis pas vmt sûre qu'il aurait aprécié ce titre :p)

    Tiré d'un article sur yiddish-is-forever:
    "Le terme hassidisme vient de l'hébreu "Hassid", un mot qui signifie "quelqu'un qui sert Dieu d'une manière plus généreuse que la moyenne des gens". Bon! Ce sont des données très relatives... Le hassidisme est né à la fin du XVlle siècle en Europe orientale. C'est un mouvement qui part de l'idée que l'on peut servir Dieu autrement que par l'étude, l'ascèse ou la rigueur. Au contraire, disent les Hassidim, on peut servir Dieu par la musique, le chant et la danse."

    Tiré de l'encyclopédie Yahoo:
    "(...)Plus généralement, le grand courant spiritualiste juif nommé hassidisme reprend vigueur aux XIIe et XIIIe siècles en Rhénanie et se déploie en Pologne au XVIIIe siècle. Il présente l'exemple étonnant d'un mouvement mystique massif et populaire continu du XVIIIe siècle à nos jours. Animé d'abord par un homme du peuple, le Besht, le hassidisme associe une solide doctrine éthique et un amour enthousiaste de la mélodie, du chant et de la danse. Il considère le babil d'un nourrisson, la musique d'un berger au cœur pur ou l'héroïsme d'un voleur exposant sa vie pour un morceau de pain comme des actes mystiques plus forts que les prières de notables. Il exige une réforme individuelle intérieure et immédiate.

    Le hassidisme, soulevant les foules, est certes responsable de superstitions et de supercheries, de cultes de la personnalité et d'un fanatisme certain à l'égard des Lumières juives. Mais, avec le Livre de Job biblique, il est la source de la philosophie de Franz Rosenzweig, de l'existentialisme de Martin Buber et même de la pensée de Kafka. L'inquiétude éternelle d'un rabbi Nahman de Bratslav, grande figure du hassidisme, rêveur et conteur, nostalgique de la Terre sainte sans jamais pouvoir s'y installer, n'annonce-t-elle pas Kafka?

    La Renaissance échappe aux penseurs juifs élaborant ces vastes systèmes mystiques. Isolé, le grand philosophe Spinoza est excommunié pour ses idées proches de celles de Descartes. Son œuvre recèle pourtant des thèmes de la philosophie juive médiévale, l'immanence de Dieu, le salut par un amour et une connaissance du divin inséparables, et la supériorité de la joie sur la tristesse. La problématique née de la coexistence de la rationalité de la loi et du mysticisme de l'amour est exacerbée à cette époque, ce qui entraîne le rejet de la Raison incarnée par Spinoza. Mais la Haskala du XVIIIe siècle et la «science du judaïsme» allemande du XIXe siècle vont renverser la situation."

    Voilà, en fait c'était juste ma première impression à la lecture de cette phrase. Si tu veux en savoir plus je te conseille de te renseigner sur rabbi Nah'man.


    Sinon à part ça les derniers messages me rappellent quant à eux un passage des Frères Karamazov consigné pieusement au fin fond de mon carnet de lecture:

    "Il faut que je te fasse un aveu, commença Ivan: jamais je n'ai réussi à comprendre comment on pouvait aimer ses prochains. Je veux dire, c'est justement les prochains, à mon avis, qu'il est impossible d'aimer, on ne peut aimer que les lointains."

    Ivan s'adresse à Aliocha si je me souviens bien.

  7. #17
    bulletin Guest

    Par défaut ;)

    Combien faut il de croyant pour changer une amoule?

    --Aucun, ils la voient tout le temps allumée

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