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lol une chose à la fois Gian, il nous a déjà fallu 34 pages pour en arriver là, ne risquons pas 34 autres pages
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Provient du message de Raizrod
Nous semblons avoir du mal à nous accorder sur une définition commune mais en voici une je pense qui pourra convenir à tous :
Le philosophe est celui qui confronté au choix entre bonheur et vérité choisit la vérité sur le bonheur. Il vise la sagesse, une vérité heureuse, mais s'il lui faut choisir, alors seule la vérité est à accepter pour le philosophe. Aucun drogue, aucune illusion, aucun bonheur ne pouvant retirer à la vérité son caractère vraie.
Pouvons-nous, au moins tous nous accorder sur cette définition?
le fait que le philosophe se détourne en général des choses mondaines, du "bonheur" n'est à mon sens qu'anecdotique et n'entre pas pour moi dans sa définition. cet état de fait n'est que la conséquence des penchants traditionnels du philosophe, et je dirais qu'il faut beaucoup plus le voir comme une ascèse, une logique naturelle, que comme un choix qui tiendrait un peu du pari pascalien.
pour moi, la caractéristique du philosophe c'est avant tout sa volonté de réfléchir sur la nature de l'homme et sur sa place dans le monde. au moins pour l'essentiel.
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Il ne s'agit pas de dire que le philosophe se détourne du bonheur en général, mais bien que le philosophe place la vérité avant toute chose!! Le fait qu'il cherche la place de l'homme dans le monde et sa nature découle de cette recherche continue de la vérité.
J'illustrais par le choix qui peut se poser au philosophe entre vérité et bonheur, ce qui constitue la caractéristique première du philosophe, à mon sens : la recherche de la vérité qui prime sur tout bonheur illusoire qu'il peut rencontrer à mi-chemin de sa réflexion.
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et si on remettait çà en ligne ?
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why not
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ahh !!! mais pourquoi cette question est-elle si redondante ?
Tiens, j'en ai une autre:
" Quand fait-on le deuil de notre idéal de philosophie ... quand accepte-t-on enfin de ne pas être philosophe ?"
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a gian
lorsque la question ne se pose plus.
autrement dit: lorsque l'on est bien
cordialement
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Provient du message de Gian
ahh !!! mais pourquoi cette question est-elle si redondante ?
Tiens, j'en ai une autre:
" Quand fait-on le deuil de notre idéal de philosophie ... quand accepte-t-on enfin de ne pas être philosophe ?"
.....Il n'est pas nécessaire de faire "son deuil" de la philosophie....
Parce que c'est inutile.....
On philosophe principalement pour soi-même....,Parce que l'on a une "raison" de philosopher.....
A coté de cette "raison" il faut un instrument philosophique, une technique.....
Ainsi "la raison" ou motivation ou domaine d'investigation + la technique (cognitive, verbale ou écrite) cela forme un tout.....
Ce tout forme un exercice, un talent ou un jeu....selon le niveau, l'habitude.....
Essayez donc, enfin, de bien comprendre "l'affaire philosophique"....
Si vous refusez de comprendre c'est psychologique: vous ne voulez pas voir la difficulté.....
En toute matière il n'existe que deux forces qui "portent": l'endurance ou l'intérêt....
La premiére nécessite de l'exercice ou du travail.....
La seconde "nécessite" plus d'intelligence: un usage "plus actif"
et plus précis:
de quelle manière les choses que l'on pratique
peuvent-elles être plus rentables ET moins fatiguantes?
.....Ainsi faut-il "un peu" se casser la tête pour répondre à la question:
qu'est-ce qui permet de "maintenir" l'enjeu psychologique et donc "personnel" POUR quelque chose?......
Il ne suffit donc pas de "faire" quelque chose....Il faut "permettre"
au cœur de pouvoir dire oui.....
Je ne peux pas vous apprendre "la franchise" avec soi.....
Mais restons,s'il vous plaît , pour une philosophie"bon enfant" et sympathique,
.......
Alors pourrez-vous voir,peut-être,que votre "intérêt" pour la philosophie deviendra meilleur....
Avec mes salutations
Brézing-Hamm
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Oh, ce n'est pas une question de manque d'intérêt pour la philosophie, mais bien plutôt pour les pseudos philosophes... qui cela intéresse-til de se dire philosophe. C'est en ce sens que je posais mes questions ... pas du tout pour donner une leçon à quiconque ... je me suis sans doute mal exprimé, désolé.
Enfin, avant de me poser en sage donneur de leçon je m'assurerais que je n'ai pas à faire à un doctorant en philo par exemple, ou plus implement à quelqu'un qui pratique cette matière depuis de nombreuses années ... histoire de pas avoir l'air con ! mais c'est mon point de vue. Ce que je veux dire avant tout, c'est que je n'entends donner de leçons à personne vu qu'il y a toujours plus "fort" que soi !
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Provient du message de Gian
Oh, ce n'est pas une question de manque d'intérêt pour la philosophie, mais bien plutôt pour les pseudos philosophes... qui cela intéresse-til de se dire philosophe. C'est en ce sens que je posais mes questions ... pas du tout pour donner une leçon à quiconque ... je me suis sans doute mal exprimé, désolé.
Enfin, avant de me poser en sage donneur de leçon je m'assurerais que je n'ai pas à faire à un doctorant en philo par exemple, ou plus implement à quelqu'un qui pratique cette matière depuis de nombreuses années ... histoire de pas avoir l'air con ! mais c'est mon point de vue. Ce que je veux dire avant tout, c'est que je n'entends donner de leçons à personne vu qu'il y a toujours plus "fort" que soi !
......Il n'est pas question de l'histoire de la philosophie.....
Il est question de L'IDÉE de la philosophie comprise
INTELLIGEMMENT, c'est-à-dire d'un point de vue "évidemment" PSYCHOLOGIQUE....
Si vous comprennez,bien sûr....
Avec mes salutations.....
Brézing-Hamm
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