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Discussion: c'est quoi un philosophe?

  1. #311
    bulletin Guest

    Par défaut Elle tire tout le draps vers elle !! (la relativité G. bien sur)

    Je crois que tu a entierement saisi l'hypothèse que j'avais posée et ses aboutissements (Pourquoi existons nous? Est une question "peut être" incensé).

    Pour revenir au caractère relatif de la dimension temporel, qui est un postulat de mon hypotèse:

    "Il me semble que la relativité ne remet pas en cause la notion de temps mais la notion de temps en tant qu’écoulement continu. "
    --->Elle remet en cause l'idée d'un dimension temporel absolue.
    Elle stipule que aucun réferentiel spatio-temporel n'est à privilegié (donc pas d'idée de vérité absolue), de plus le temps "ne s'écoule pas de la même manière" selon notre vitesse (relativement à un autre réferentiel) donc on a bien un temps relatif.
    On peut rajouter même qu'afin de concillier la Relativité général et la mécanique quantique, il faudrait supposer l'existence de 11 dimensions (Théorie M pour 11 dimensions ou pour 10 dimensions,la super-symetrie je crois)... ceci laisse à penser qu'il n'y ai aucune raison de croire en une dimension temporel absolue, validant notre logique causal (et donc donnant un sens à "pourquoi existons nous?")


    "ce qui m’étonne, c’est qu’une augmentation quantitative aboutisse à une conception du temps qualitativement différente. Peut-on dire cela ?"

    --->Précise ta question.Je ne vois pas de changement qualitatif du temps, quel que soit ta vitesse.
    Si tu étire un draps selon differentes tensions (quantitatif) tu obtiendra un draps qualitativement identique( bien que ses propriétées (relatives) ne soient plus identiques à son état initial, sa nature ("absolue") est la même)
    Dernière modification par bulletin 28/05/2004 à 16h09

  2. #312
    bulletin Guest

    Par défaut Descartes ne joue pas aux dés (c'est nul ...)

    un problème ce pose avec l'idée que l'on développe depuis quelques pages... la logique lié au temps ect...

    Le "je pense, je suis" ne me semble pas valide.
    En effet il est inconsciement validé par une logique temporel qui à tendance à nous faire voir une causalité...."je pense donc je suis", cependant cette causalité est nié par Descartes dans sa démonstration, ainsi on va brimer notre esprit logique afin d'obtenir une "logique simultané" ...je pense, je suis... Ce caractère simultanée exclue donc notre logique temporel bien aimé... alors nous nous retouvons en face d'une fausse logique, qui à tout l'air d'être à proprement parlé invalide, mais que le commun des mortels valide en déformant notre vieille logique temporel, en la restreignant, de tel manière que nous obtenons une logique invalide car qui ne fait pas intervenir le temps.

    Ici je pose comme vérité qu' une tel logique intemporel mené par l'homme est illusoire... cela reste à méditer..., Descarte à t il transcender cette temporalité en découvrant une nouvelle forme de logique...

    J'en doute fortement

    Quelles seraient donc les bases de cette logique ?

  3. #313
    Gian Guest

    Par défaut

    euh ... je part en WE ... je répondrai au retour ...

    désolé, bon we

  4. #314
    Date d'inscription
    April 2004
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    Atlantis
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    72

    Par défaut I think therefore I shrink

    c'est la que je pense qu il existe "différentes formes" de logique:

    la plus faible car la plus subjective, celle qui nous pousse à examiner des propositions avec une certaine temporalité. c'est cette logique que l homme utilise tous les jours en étant bien ancré ds les 4 dimensions classiques, elle nous fait voir ces propositions comme un déroulement linéaire de la pensée (il ne peut rester ici donc il change de place...)

    le faite que l on considère le "donc" de Descartes vient de ce mode de pensée habituelle (ainsi que de notre enseignement qui nous fait d abord connaitre le "cogito ergo sum"^^)
    On peut aussi voir l intégration du donc comme une conséquence du sens de lecture car ne pouvant prendre connaissance de cette logique dans son entier à un instant donné, le cerveau rajouterait en quelque sorte un ordre de défilement aux informations qu il recoit et donc cette idée de relation cause/conséquence.

    Cependant la logique (plus abstraite) qu'utilise descartes ne me parait pas si diabolique que ca. D'apres moi, il met simplement en place une équivalence entre la pensée et l'éxistence (je pense <=> je suis), qu'on peut alors lire dans n'importe quel sens, c'est la meme logique utilisée dans les mathématiques qui est censé ne pas etre inclu ds le temps. Mais il reste à pouvoir classer les paradoxes de logique

  5. #315
    purcel Guest

    Par défaut c'est??..

    Un philosophe c'est kelkun ki se detache des choses ,et ki va au dela des choses ,ki depase les choses en elles meme,et devine ce kel peuvent vouloir dire ou meme representer..c'est sa un philosophe.

  6. #316
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    April 2004
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    Atlantis
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    72

    Par défaut

    c'est pas un dictionnaire ca?

  7. #317
    purcel Guest

    Par défaut kroi pa

    j'crois pa mon cher arlekin vu ke je n'ai fait ke dire ce ke je pensais.
    @+

  8. #318
    Date d'inscription
    December 2003
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    49

    Par défaut

    Nous semblons avoir du mal à nous accorder sur une définition commune mais en voici une je pense qui pourra convenir à tous :

    Le philosophe est celui qui confronté au choix entre bonheur et vérité choisit la vérité sur le bonheur. Il vise la sagesse, une vérité heureuse, mais s'il lui faut choisir, alors seule la vérité est à accepter pour le philosophe. Aucun drogue, aucune illusion, aucun bonheur ne pouvant retirer à la vérité son caractère vraie.

    Pouvons-nous, au moins tous nous accorder sur cette définition?

  9. #319
    bulletin Guest

    Par défaut

    oui

  10. #320
    Gian Guest

    Par défaut

    et ensuite ?

    Le problème est de savoir si l'on peut s'accorder sur le lieu de la philosophie, entre eflexion rationnelle et science cosmique ...

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