Gian
Dans le cas de mon exemple, c’est le manque de moyen qui empêche de lire, ce n’est pas critiquable, d’ailleurs l’intelligence et la culture sont 2 choses différentes.
Parmi les gens qui ont les moyens de s’instruire sur la philosophie, beaucoup ont peu de temps (travail, vie de famille. La matière à réflexion on la puise dans l’environnement, la nature, les étoiles etc. Pour ceux qui pourraient se documenter longuement sur le sujet, la question n’est pas de comprendre ou pas, de digérer ou non, en admettant que l’on assimile tout, le risque est de perdre le contrôle de sa pensée.
L’être humain est très influençable, on le voit avec la publicité, l’admiration de gens célèbres… Ce qui est important, c’est de garder son sens critique et de vérifier par soi même les pensées des autres. Toutes les explications du monde ne doivent pas nous suffire tant que nous n’avons pas trouvé les réponses en nous, au plus profond de notre être. La philosophie de pacotille c’est peut être aussi d’avoir en mémoire un certain nombre de données comme un ordinateur, qui permettent d’avoir réponse à tout, mais qui ne sont pas nos pensées propres. L’essentiel c’est de rester maître de ses pensées.
Peut-être qu’il existe des esprits puissants qui sont capables de ne pas se laisser influencer par les grands penseurs mais ce n’est pas le cas de la majorité d’entre nous.
Il vaudrait mieux des citations même un peu maladroites mais bien à nous, cela ferait de nous des chercheurs authentiques. Ce qui compte c’est d’être vrai, de ne pas imiter.

Estelle
Effectivement nous devons poursuivre dans ce sens, il existe en nous des possibilités cachées, et la première démarche est avant tout, d’apprendre à se connaître afin de mettre au service de notre recherche les moyens délaissés comme le ressenti.
Nos conclusions ne peuvent pas valoir plus que ce que nous valons nous même c’est pourquoi notre recherche doit automatiquement s’accompagner d’une amélioration de ce que nous sommes.
J’ai pratiqué aussi 1 an de ki gong, (il faudrait poursuivre) travailler sur les énergies est une ouverture sur le monde environnant et c’est déjà un début de compréhension sur le fonctionnement de l’être humain.
Avec aussi un peu de sophrologie, on doit pouvoir explorer les profondeurs de notre être, ce que la seule philosophie ne permet pas.
Bonne chance
Candie