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Discussion: Quel serait pour vous le "superficiel" ?

  1. #11
    Manhs2 Guest

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    on ne respecte pas assez le silence de dame nature.

  2. #12
    Viri Guest

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    On peut aimer, adorer la vie même si elle est superficielle : cela n'a rien d'antithétique.

  3. #13
    timée Guest

    Par défaut le petit robert

    Selon le petit robert éd 2002 : adj, du lat. superficialis.
    1 relatif ou propre à la surface d'un corps
    2 qui n'est ni profond ni essentiel : apparent., frivole futile léger.
    Sinon je rejoindrai l'avis de Brezing-Hamm. LA confusion règne dans le fait que l'on "e.ffleure que la surface" des mots comme l'explique Nietzsche.
    Pour moi, le superficiel mérite sa place, ne serait-ce que dans le rôle d'acteur que l'on rempli chaque jour. Malgré nous, le rôle du couple par exemple reste un peu différent du rôle de l'amitié. Mais cela n'est que futilité et légèreté.En revanche, penser le superficiel c'est penser sa superficie : la place que l'on prend dans une vie, chez n'importe qui. ça c'est l'essentiel.

  4. #14
    Estelle br Guest

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    Brezing-Hamm
    est ce que la "compréhension" qui "donne sens" touche réellement à l'essentiel?

    organiquement, la partie du cerveau qui "donne sens", qui ordonne, est la surface du cerveau!
    "l'essentiel" du cerveau est celui lié aux instincts

    A LA TERRE QUOI !

    Manhs

    on ne respecte pas assez l'existence même de dame nature

    frustration...

    c'est pour çà que j'aime aller dormir en forêt, pour écouter les pious pious des zoiseaux.
    malheuresement, la dernière fois ma chienne s'est faite embrochée par un sanglier.
    ne vous inquiétez pas elle a survécue

    je ne suis pas dans la surface, mes neurones pêtent; mais je sais que je ne suis pas schizo

  5. #15
    Estelle br Guest

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    ne cherchez pas à comprendre, vous seriez superficiels!

  6. #16
    naud.philippe Guest

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    Le superficiel c’est la surface. Pour beaucoup de personnes, c’est seulement parler de futilités c’est se contenter de répéter ce que l’on entend et faire siennes les idées de masse, c’est ne pas chercher à aller au fond des choses afin de vérifier si nos croyances sont conformes à ce que nous sommes vraiment, etc. Le superficiel c’est aussi considérer les autres sur l’apparence, le statut social, la culture, les racines, les loisirs, etc. Mais toutes ces ressemblances apparentes qui croit-on nous rapprochent, ne sont rien d’autre que notre servitude à ce que nous croyons être. Tout nous a été dicté par d’autres hommes, nous sommes victimes de ce que notre civilisation actuelle impose. C’est un rôle que nous jouons, inconscients que sous ce cinéma se cache notre nature profonde. Nous marchons au pas sans avoir conscience que notre pensée ne nous appartient pas, nous sommes réduits à l’état de robots destinés à rapporter de l’argent à notre société. Ne pas être superficiel, c’est essayer de nous abstraire de notre condition pour ne considérer que l’essentiel, la vraie valeur des êtres et des choses. C’est se demander : qu’aurais-je été si j’étais né ailleurs, à une autre époque avec un autre sexe etc. ? C’est essayer d’éviter de se surestimer et sous estimer autrui sur des valeurs purement matérielles, culturelles, raciales, etc. De ce point de vue la, des gens apparemment très différents peuvent être très proches en réalité.
    Ne pas être superficiel est un travail très long qui demande d’avoir appris à se connaître. Cela peut prendre de nombreuses années, même une vie n’y suffit peut-être pas d’autant plus que si l’on contredit l’ordre établit et bouscule les idées reçues, tous les membres de la société nous rejettent, nous sommes comme dans une secte et il est très difficile d’en sortir. Il faut éviter d’appartenir à un groupe quel qu’il soit, chaque homme étant différent et à divers degrés de sa propre évolution.
    Etre superficiel, c’est la commodité, cela rassure la masse.

  7. #17
    Viri Guest

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    Je crois que l'on peutêtre "profondément" superficiel, si l'on pose que l'essentiel (au sens de la vérité absolue) n'existe pas.

  8. #18
    benan Guest

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    ce qui n'a pas de lien avec la vie, exemple la guerre ou le droit. Les adultes ont tellement peur de l'imprévisible qu'ils veulent tout contrôler. Or la vie est imprévisible c'est pour ça qu'il la déteste ou la méprise.
    Voyez comme on fait peu de cas des humains sauf quand ils sont morts, très agés, ou facteurs d'enrichissement pour les "responsables". Le superficiel? c'est l'image.

  9. #19
    Date d'inscription
    May 2003
    Messages
    388

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    Provient du message de benan
    ce qui n'a pas de lien avec la vie, exemple la guerre ou le droit. Les adultes ont tellement peur de l'imprévisible qu'ils veulent tout contrôler. Or la vie est imprévisible c'est pour ça qu'il la déteste ou la méprise.
    Voyez comme on fait peu de cas des humains sauf quand ils sont morts, très agés, ou facteurs d'enrichissement pour les "responsables". Le superficiel? c'est l'image.

    .......Il me semble que l'essentiel dans une définition est son usage....
    Si l'acception "principale" du mot"superficiel" est négative c'est que la négative est principale....
    Je ne vois,d'ailleurs,aucune acception positive" utile" pour la compréhension du dit mot...
    Superficiel est donc à définir négativement pour être utilisé principalement sous une forme négative....

    Ce qui donc"principalement" est A EVITER (selon un contexte "naturellement philosophique"[Car nous parlons bien de philo,n'est-ce pas?])

    C'est le superficiel en matière de JUGEMENT....


    Avec mes salutations,B.-H.

  10. #20
    Viri Guest

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    Peut-être que la superficialité serait de considérer qu'il y a de l'essentiel, c'est-à-dire quelque chose qui se cache derrière la réalité....

    C'est pourquoi on peut considérer qu'il est essentiel (au sens de primordial) d'être superficiel. Ce qui permet de ne pas vivre pour des chimères à jamais inaccessible, car non existante.

    Compréhensible ?

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