Pour moi, si je ne m'en tiens qu'aux personnes, il y a deux catégories de superficiels.
Il y a les faux superficiels, je pense, ceux qui se cachent sous une couche de superficialité pour se cacher aux autres, de peur d'en souffrir. Prenons un exemple typique, celui d'un garcon apparament macho mais qui, quand on le connait bien, se révèle plus sensible et qu'on ne le croit. Pourquoi cette attidue ? Peut-être pour ne pas rencontrer un regard moquer de la part des autres, de respecter le culte de je-ne-sais quoi de stupide.
Ensuite, il y a les vrais superficiels, ceix là qui ne se posent pas trop de questions, ne se prennent pas la tête avec des questions existencielles. Ils s'arrêtent au physique et sont incapables de faire des réfléxions profondes. Pour consoler quelqu'un, ils ne savent dire qu'un "ca ira" évasif et s'énervent quand on pense trop à côté d'eux.
Dans notre société actuelle, il y a également beaucoup de superficialité, comme par exemple, à travers le culte de l'apprence. Une fille mince comme un fil de fer est qualifiée de canon. Mais est-ce vraiment le physique ou bien le caractère qui détermine la beauté d'une personne ? Il y a aussi plusieurs sortes de beauté, cela s'entend.
Heu...Qu'en pensez-vous ?