Il me "semble" que ce serait perdre son temps et qu'il vaut mieux rester au plus près du sujet....
"le moraliste est par essence un utopiste et le propre de l'action morale est précisément de créer son objet en l'affirmant"
J'aurais encore une petite question...
est-ce qu'une bonne piste serait de se demander si le moraliste doit ou ne doit pas être un utopiste ?
puisque l'homme prisonnier de ses rêves et de ses utopies ignore les contraintes du réel et s'expose à un retour fracassant de celui-ci, mais inversement, le refus de toute forme de rêve conduit à l'immobilisme, à la résignation, et à un rejet de la vie même...
Merci
Il me "semble" que ce serait perdre son temps et qu'il vaut mieux rester au plus près du sujet....
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
alors je pense ne pas avoir cerné la problématique de ce sujet...
Vous avez raison. L'essentiel est de cerner la question de la question, le problème.
C'est à la fois nécessaire et très difficile. Pour trouver la problématique, il est possible de chercher dans les termes du sujet deux termes qui se font pour ainsi dire la guerre et provoqueront un étonnement.
La question : comment se fait-il que , comment peut-on dire cela sans contradiction est le chemin vers le problème. Après il est facile d'ajuster le développement au sujet.
Ou encore on peut se demander: quel est le sens de ce sujet c'est à dire sa signification et sa fin, son orientation.
Bon courage.
L'aide déjà donnée voulait être un chemin de compréhension
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
alors plutot que de se demander si le moraliste doit ou ne doit pas etre un utopiste, il vaudrait mieux se concentrer sur pourquoi il devrait en etre un
puisque l'association des deux premiers membres : moraliste, utopiste implique celle des suivants action morale, création d'objet
il suffit de discuter la première pour avoir une réponse sur la seconde également