"le moraliste est par essence un utopiste et le propre de l'action morale est précisément de créer son objet en l'affirmant"
J'aurais encore une petite question...
est-ce qu'une bonne piste serait de se demander si le moraliste doit ou ne doit pas être un utopiste ?
puisque l'homme prisonnier de ses rêves et de ses utopies ignore les contraintes du réel et s'expose à un retour fracassant de celui-ci, mais inversement, le refus de toute forme de rêve conduit à l'immobilisme, à la résignation, et à un rejet de la vie même...
Merci