Une suggestion:
Relier plaisir et désir.
Ce qui empêche un désir de devenir obsédant (de rester au foyer de la conscience ) c'est d'une part la concurrence des autres désirs et d'autres part la force des choses, les contraintes sociaux économiques qui empêchent de se fixer trop longtemps sur l'objet d'un désir...Ce qui est dit , ici, du désir peut être dit du plaisir.
Cela est-il vrai dans tous les cas?
Pas toujours puisque un désir , et un plaisir qui l'accompagne, peut envahir toute la conscience, la colorer entiérement: la passion est obsession, stucure fixée de la conscience , lorsque un désir a insallé le plaisir que procurerait l'objet du désir, au foyer de la conscience: dans tout désir il y a l'anticipation d'un plaisir: l'imagination étendant la mesure du possible.
Expliquer la phrase, montrer son intérêt pour ce qui est du désir.
Pour ce qui est de la passion="tous nos plaisirs peuvent être obsédants": quelle signification donner à cela?
Si j'ai le temps je réponds sur Plotin
http://www.philagora.net/philo-poche/pochpass.php
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir