Regardez vous avec vos bras tendus
Vos armes, meurtriers de nos rêves
Leurs voiles pour cacher leurs yeux perdus
Qui ne connaissent la plus infime trève.

C'est la peine qui plane sur nos âmes
Je vous hais de vous aimer tant
Vous ne savez que planter la lame
Dans les esprits de nombreux enfants

Et cette odeur d'espoir trop usée
Qui nous ennivre à perdre raison
Ne saurais dissimuler l'atrocité
De vos pensées pauvres démons!