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Discussion: Autrui, la mesure de Tout?

  1. #1
    benan Guest

    Par défaut Autrui, la mesure de Tout?

    Grâce à votre site, je viens de comprendre qu'autrui EST la mesure de tout
    ça me rappelle un vieux mythe, celui de Caïn et Abel. Abel signifie "fumée, vapeur" et c'est exactement notre difficulté. Comprendre que "n'importe qui"est le sens de nos efforts, le chemin et la mesure...que quelque part il signifie la vie pour moi.

    C'est un changement radical. Car je ne connais pas autrui. Il est mon proche et mon lointain, celui que je connais et celui que j'ignore. J'en suis comptable devant la vie et mes contemporains.
    Je ne dois pas le désespérer, et veiller à sa sécurité.

    Tout ce qui importe à nos dirigeants ne sont que pierres, et ronces. L'économie prédomine et nous devenons de plus en plus stériles, secs, sans forces. Ils recherchent la gloire et la puissance, ce ne sont que vaines illusions. Les "grandes personnes" défilent dans la rue appeurées, angoissées, alors que tout pourrait être douceur, tendresse et sollicitude.

    Veuillez leur faire comprendre qu'ils se sont trompés de chemin.

  2. #2
    géo Guest

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    Benan: tout pourrait être douceur, tendresse et sollicitude
    Oui mais là tu t'es trompé de planete. On n'est pas (encore !!! ) au paradis terrestre .

    La nature humaine c'est ça
    et vala les êtres du paradis

    Mais tu as raison faut y croire un jour au monde mailleur. On travaille tous à ça.

    Géo le bon petit

  3. #3
    benan Guest

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    C'est un peu difficile pour moi car je suis sur 2 réflexions en même temps: les sentiments et celui-ci
    Ils se recoupent et comme je me souviens que mon correspondant me parlait de "laisser-tomber", je préfère la vérité.
    Je confirme donc que les hiérarchies et les statuts ne sont là que pour faire croire que le pouvoir existe.
    Réveillez-vous les copains, les anciens ont tellement rêvé d'être "grand" un jour, qu'ils ont cru à leur autorité. La preuve? il suffit d'écouter Chirac ou Bachelet, les profs ou les parents réclamer "le respect" pour se rendre compte qu'ils ne connaissent que leur "statut". L'autorité est une force morale qui s'impose dès le premier coup d'oeil. Ce n'est pas du charisme, il n'y a pas de séduction, c'est une forme d'accomplissement, de rappel à l'ordre. Le statut n'a pas d'autorité ce n'est qu'une image vide, ça ne révèle rien. Nous y sommes habitués avec la TV.
    Exit des structures, autorités, images qui ne servent qu'un système au service de lui-même. J'ai écouté sur France-culture un document sur "le travail" et il n'avait même pas eu l'idée d'en chercher une définition adaptée à notre nouvelle vision du monde!

  4. #4
    DOMINI Guest

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    Bonjour à tous,


    Le sujet étant autrui, je l'aborde, en essayant de faire simple et clair malgré des raccourcis, j'espère cependant que ce que j'écris sera compris.

    Nous sommes composés :

    - d'instincts : impulsions naturelles sans délibération, qui agissent partout de la même manière, collectifs donc (sexualité, volonté de puissance, d'affirmation) en parallèle aux notions morales d'ailleurs.

    - de contraintes inconscientes : humeurs, affects impulsifs, ne dis t-on pas "l'inconscient et ses terreurs" ?

    et nos données psychiques réelles nous sont cachées.

    Mais nous avons la la faculté d'apprendre, pris l'habitude de nous mesurer à notre environnement. Finalement donc le moi correspond plus ou moins à une norme mais chacun est unique : notre histoire individuelle nous a forgé. Ce ne sont pas vraiment des différences mais des particularités variables, de plus notre expérience ne se rapporte qu'à ce que nous avons pu comprendre, absolument pas à la totalité de ce qui nous arrive : NOUS DEPENDONS DES AUTRES.
    On peut noter les différences de culture qui font vraiment des humains "différents" tout autour de la planète : ce sont des accidents extérieurs, la nature a "suivi son plan" et j'insiste :

    tout ce qui nous différencie vient de l'extérieur, pas de l'intérieur, originellement nous sommes identiques. Je supporte mal les crétins (me voilà qui m'énerve tiens) qui sont convaincus de l'illusion selon laquelle les différences créent une supériorité ou une infériorié. NDD nos différences viennent de l'extérieur combien de fois faudra t'il le répéter ça ?!

    Un homme entier est composé du bien et du mal : on ne peut pas être une moitié en supprimant l'autre.
    Par ailleurs a quoi bon se battre "contre ce sol qui gît sous nos pieds" pour acquérir une personnalié fictive ? Il faut tenir compte de l'ombre en nous. Il y a trop de docteurs qui ne sont que des docteurs, des professeurs qui ne sont que des professeurs : des fuites hors de soi, le désir de paraître... des gens toujours prêts à s'échapper de leur propre vérité par tous les moyens extérieurs et intérieurs.
    Nous voici à la personnalité...du latin personna : masque de comédien.
    LES GENS FONT TOUT POUR ETRE CE QUE LES AUTRES PENSENT QU'ILS SONT. Ce qu'on paraît est beaucoup plus valorisant, mais ce n'est pas ce que l'on est, c'est artificiel. Mon médecin par exemple, compense ses insuffisances derrière son discours de praticien : il évite la rencontre avec lui-même et dissimule son visage intérieur.
    Arrivé à un certain stade de réflexion-méditation plus rien de ce qui est humain ne vous est étranger : NOTRE FOND HUMAIN PRIMORDIAL est le même. nous avons développés des particularités et il faut accepter ce que l'on est, "ce qui nous pousse à" "ce qui fait en moi que je", nos bassesses, y mettre de l'ordre, se dire qu'il n'est pas d'ombre sans lumière.

    Nous ne sommes rien de plus ou de moins que les autres et nous ne nous considérons - représentons jamais nous-mêmes comme nous sommes (ho, quel surprise d'entendre sa voix sur un magnétophone...).

    Pour résumer l'ensemble : "Il n'y a donc plus que moi et ce qui n'est pas moi."

    J'espère avoir démontré en bref que "l'autre, c'est encore moi" ce qui devrait aider à mesurer autrui et à VIVRE EN PAIX.


    Bien à vous.


    ps : c'est bien ça, bonan, de ne pas s'enfermer dans les limites de sa propre expérience.

  5. #5
    benan Guest

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    J'aime beaucoup cette révélation: la gravité est le fait de ceux qui se prennent au sérieux...ce n'est pas exactement la phrase de Montesquieu mais je suis certaine que c'est vrai.

    Puisque tu reconnais que nous avons tous des zones d'ombres et de lumière et qu'en plus je ne sais pas ce qui fait ombre ou lumière chez moi, je te suis reconnaissante de me dire
    1) que c'est normal.
    2) que nous tirons nos différences d'autrui.
    Il y a un instinct que tu as oublié et il me semble important: c'est le besoin de protéger. Il n'est pas constitutif du besoin d'affirmation de soi ou de la volonté de puissance. A moins qu'il soit une exigence morale. Entre instinct et notion morale je ne fais pas bien la différence. Je sais qu'en moi, il y a des exigences et que je ne dors pas bien si je n'y vois pas clair(en moi)
    Je me moque des mots, j'en demande pardon tout de suite. ce qui m'importe c'est "arriver à me faire comprendre" et je les danserai ou les dessinerai si je savais le faire.
    "La nature a suivi son plan". Que c'est plaisant de lire cela.
    A part le fait que le Chinois et le Zoulou sont tout comme moi des accidents extérieurs...ça doit être le mot "accident" qui m'accroche car il me relie à "contingent" (non nécessaire) Je sais bien que je ne suis pas nécessaire mais j'aime à penser que "la nature a suivi son plan" et que si je suis parmi vous, c'est pour apporter ma contribution.
    J'aime lire:"sont convaincus de l'illusion selon laquelle les différences créent une supériorité ou une infériorié" Enfin quelqu'un qui croit la même chose que moi! C'est une illusion de croire qu'il y a des supérieurs ou des inférieurs. Tous nécessaires, tous avec une espérance. Et puisque nous sommes là, entrain de lire, veuillez faire le nécessaire pour vous exprimer.
    Nous avons BESOIN de vous pour "être".
    Je me moque des masques. L'avantage d'internet c'est que personne ne se voit. Nous sommes chacun singulier,[mais comme je crois que la vie fait très bien les choses(il faut reconnaître que c'est étonnant d'être en vie!)nous avons une technologie à notre disposition pour communiquer] mais nous ne savons pas ce qui est lumière pour les uns et ombres pour les autres.
    Se pourrait-il qu'une parole (d'une même personne) créé de l'ombre chez X et de la lumière chez Y? Il me semble que ce doit être possible puisque "l'inconscient" me semble être ce qui nous fait interpréter le message différemment.
    Attention DOMINI, je ne sais pas exactement ce qu'est l'inconscient. Bien sûr j'en ai entendu parler, mais souviens-toi que le sujet est AUTRUI, pas l'inconscient.
    Pourquoi veux-tu te battre contre "ce sol qui gît sous nos pieds"? Il est très bien ce sol. je ne suis pas un pur esprit et j'ai besoin du sol pour m'y tenir debout.
    "Un homme entier est composé du bien et du mal : on ne peut pas être une moitié en supprimant l'autre." Crois-tu que c'est parce que certains veulent supprimer le mal qu'ils s'empêchent de s'exprimer?ils s'interdiraient de parler parce qu'ils ont conscience de la part d'ombre qui est en eux? Mais comment savent-ils que c'est de l'ombre? Je ne sais rien de l'ombre ou de la lumière que je suis, mais je suis ce que je suis et j'espère que chacun s'acceptera tel qu'il est (il ne nous appartient pas de trier entre ce qui est lumière et ombre) puisque nous sommes vivants et avons la possibilité de nous exprimer.
    Y a rien que nous, les vivants, qui avons la capacité d'être libre et la capacité de parler pour rendre conscient ce qui nous arrive!
    Elle est pas belle la vie?
    "LES GENS FONT TOUT POUR ETRE CE QUE LES AUTRES PENSENT QU'ILS SONT". C'est vrai! mais je ne peux les critiquer car je sais que "ne pas être d'accord avec celui qui parle" me donne des boutons. J'aimerai tellement être d'accord avec lui. C'est une nostalgie...mais comme ça m'empêche après de dormir, tant pis, je parle. Quand je suis arrivée à savoir "pour quoi je ne suis pas d'accord" (la nuit porte conseil) alors je donne ma vision des choses. Personne n'est obligé d'écouter, encore moins d'obéir mais si je ne le faisais pas je croierai mentir; alors je parle, comme ça je peux dormir; de plus, je nous crois solidaire, tous, et à cause de cette certitude je suis bien obligée de me conformer à ce que je crois.

  6. #6
    benan Guest

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    Géo! Géo, d'accord pour reconnaître qu'il n'y a pas beaucoup de douceur sur terre mais on va changer ça. N'attends rien du ciel et je n'ai pas encore rencontré les anges sauf Mimie Mathy.
    Mais merci d'avoir donné un premier aperçu de ta vision.
    Va plus loin maintenant, donne nous ta vision d'"autrui" ou tout autre chose que t'inspirera nos échanges.
    Je viens de relire ton message et tu parles de "paradis" et un jour j'ai choqué quelqu'un en lui prouvant que le paradis était en enfer. Car il est dit dans la profession de foi officiel:"Il est mort, il a été enseveli, il est descendu aux enfers, le troisième jour...." Or il avait dit au voleur:"aujourd'hui même tu sera avec moi au paradis" donc le paradis est en enfer.
    Les grandes personnes ne savent vraiment pas ce qu'elles disent!

  7. #7
    DOMINI Guest

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    Du besoin de protéger l'on peut tout de même dire que c'est quelque part établir son pouvoir sur les autres en détruisant la confiance que ceux-ci pourraient avoir en eux-mêmes.

    Du bien et du mal
    Une parole en effet peut amener le bien chez l'un, le mal chez l'autre, il n'y a qu'un moyen de savoir si ce qu'on l'on fait ou dit est mal : juger sur l'amour (porter le fardeau de son prochain, dire "entrez, partageons", repousser le mal tendrement, ne se préferer à personne, faire à autrui ce que l'on voudrait pour soi par exemple) car tout ce qui va contre l'amour nous détruit et donc les mauvaises idées se font connaître par leurs oeuvres. En fait, de petites choses suffisent pour "connaitre" vraiment, il faut se garder des grandes apparences. La vérité, le bien, n'est pas dans les grands messes fracassantes, bien au contraire.

    De l'ombre en soi : un peu de philosophie chrétienne tiens "ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse, aussi mettrai-je mon orgueil bien plutôt dans mes faiblesses (en les montrant à tous sans honte) afin que repose sur moi la puissance divine" car si ce qui est mauvais en nous devient source d'humilité, on peut tout vaincre.

    "seul peut résister à une masse organisée le sujet tout aussi organisé dns son individualité que l'est une masse"

    ... et je suis bien d'accord avec toi : avoir la vie est une chose merveilleuse.

  8. #8
    DOMINI Guest

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    beau, ça.

  9. #9
    Date d'inscription
    May 2003
    Messages
    388

    Par défaut Autrui,la mesure de Tout?

    Madame,

    Ce sujet est une illusion.....Autrui ne peut être une mesure que
    s'il a une raison.Celle-ci doit aussi être "suffisante" pour que l'on puisse dire la même chose de son jugement......Enfin ce dernier mot ne peut signifier quelque chose que si la dite personne
    ne s'intéresse pas uniquement pour des inepsies.....

    Ainsi peut-on "remarquer" en quoi réside la mesure:dans la "qualité" du goût d'un individu.....Beaucoup trop "veullent croire" que l'on peut s'intéresser pour n'importe quoi et comme l'on veut.
    Si nous étions des Dieux je dirais toujours oui.....
    Mais le temps passe et,bien sûr,un jour l'on est plus là.....

    N'avoir donc raconté que des bêtises jusque là n'a,bien sûr,mené
    à rien......Comme d'habitude....

    Il faudrait donc bien(pour ne pas faire l'âne inutilement)
    "intégrer" dans le jugement du goût personnel la distinction entre le vrai et le faux....

    De cettte manière on pourrait avoir un modèle: la conjugaison
    de l'utile(c'est-à-dire la distinction entre vrai et faux) et de l'intéressant(c'est-à-dire une conjugaison "digestible"
    de l'essentiel avec l'efficace)......

    Ainsi un "modèle" peut aussi représenter une mesure,un "autrui" objectif....

    Avec mes salutations,B.-H.

  10. #10
    benan Guest

    Par défaut

    Une personne n'est pas "une raison". Elle n'a pas à justifier pourquoi elle est sur terre. Il suffit qu'elle soit là. Et si je lui trouve un raisonnement faux, c'est à moi de me remettre en question, car personne ne parle pour induire l'autre en erreur. Vérifiez vous mêmes. Posez une question à un étranger et il s'appliquera à vous répondre correctement sinon il dit qu'il ne peut pas vous répondre. N'est-ce pas aussi ce que disait Socrate?
    Que vous ne puissiez vous intéresser à n'importe quoi, je suis comme vous tout ne m'interesse pas, mais l'individu m'interesse. Pour moi, il est la quintessence de la vie. C'est un "gros" mot que j'emploie "la quintessence" mais je crois qu'il y a en effet dans les humains une richesse, une énergie, une joie qui me les rend "merveilleux".
    Vous me faites penser à ma mère quand vous parlez de "qualité, goût, mesure" J'ai cru avec beaucoup de confiance à ce que l'on m'a raconté, mais j'ai découvert aussi que cette fameuse "culture"était capable au nom de ses certitudes d'erradiquer, d'exclure, de nier autrui. Chaque fois que j'entends utilisé le mot "con" c'est pour signifier qu'autrui est "nul", inintéressant, mais en le disant je sais avec certitude que celui qui le dit est lui-même incapable de se remettre en question.
    C'est ennuyeux, agaçant, parfois douloureux de se poser des questions sur soi-même, ses certitudes, ses choix, ses peurs, ses envies et ses désirs, etc. mais au moins, puisque nous sommes avec nous-mêmes, nous ne dérangeons personne.
    Oui, la vie avec soi-même, c'est un vrai continent à découvrir, mais ne vous y attardez pas trop, car l'Occident a beaucoup écrit là-dessus et que dehors c'est merveilleux.
    Puisque vous reconnaissez que l'on ne peut s'intéresser à "n'importe quoi" je reviens au sujet de l'avenir de l'Ecole et je pose la question:"pourquoi ne laisse-t'on pas les enfants choisir le thème de leur recherche?" Une fois qu'ils savent lire, écrire, s'exprimer, ils sont en mesure de faire leur propre recherche. Pourquoi les obliger à suivre un parcours identique? Que les adultes les aident à faire leur recherche mais laissez les vivre!
    Pour en revenir à ma mère et au "goût" j'ai une soeur qui voulait faire du cheval et selon les conceptions de ma mère "on n'avait pas assez d'argent" mais plus tard, j'ai vu ma mère désespérée parce qu'elle n'avait pas permis de faire du cheval à celle qui vivait au Brésil et qui ne pouvait pas accompagner ses enfants et mari dans la fazenda! Nous ne savons rien de la vie, nous ne savons pas où elle nous conduira, alors faudrait afficher moins d'interdiction, moins de contrôle, moins de méchanceté à l'égard du vivant.

    "Du besoin de protéger l'on peut tout de même dire que c'est quelque part établir son pouvoir sur les autres en détruisant la confiance que ceux-ci pourraient avoir en eux-mêmes."
    On peut le dire. On peut aussi dire que le besoin de protéger m'a fait adopter de drôles de comportements.
    J'ai fait faire un tee-shirt sur lequel est écrit (devant) Ensemble pour tous (derrière) chomeuse à votre service. Quand un éducateur m'a demandé si je n'exagérais pas (J'écrivais une lettre au maire de la part des jeunes) je lui ai répondu qu'un message ne faisait de mal à personne et que le maire jugerait ce qu'il a à faire. Quand on m'a proposé de coucher, j'ai pu prouver que ce n'était pas au bénéfice de tous.
    Oui Domini, la faiblesse est l' "arme" qui détruit les violents.

    Maintenant je vous quitte car il faut que je fasse réparer mon ordinateur.

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