MEPRIS

Lorsque les flammes du mépris s’emparent de moi
Un grésillement sourd dans mon crâne se fait prier
Je lui répond, va t’en Satan ! en société
Acclamé, tu te verras… Maintenant, boit !

L’amertume de ne plus jamais me rencontrer,
Je me méprend, tu t’agrippes aux entrailles
De mon cœur pour faire entrer la canaille
Au delà de ma vision acérée

Peut-être que je te ferai disparaître
Mais le terrible abrutissement journalier
Empêche à cette offrande d’apparaître
Et je mourrais sous ton palmier

Verdoyant.Qui pèse tant sur le monde
Qui tue le naturel pourpre immonde
Du sang qui jailli quand il te voit
Pour arrêter tes blanches desseins. Aux oies

Le charme de la paresse de l’être.
Mes joues se creusent d’une gangrène aboutit
Peut-être que je te ferais disparaître
Mes cris.. . . . . . . . .