Je ne dis pas le contraire, au contraire, mais surtout je ne vois pas le repport avec la phrase que tu reprends.L'acte sexuel est un moyen, et non pas une fin; la jouissance n'est qu'une partie de l'arsenal de la Nature, pour arriver à ses fins.
Ce n'est pas parce que c un moyen que la jouissance n'est pas importante.
bien sur que dans la "logique de la vie" la jouissance est ce qui a permis que la vie se développe (comme par hasard le plaisir le plus gd de la vie qui existe est associé à la procréation, dc à la continuation de la vie), donc ce n'est quun moyen.
mais pour nous autres humains, ce n'est pas un moyen, ni forcément un but d'ailleurs, c'est un besoin.
Besoin et non but ou moyen car pour ces deux derniers ya intelect, associé à la notion de but ya réfléxion (comment atteindre ce but), alors que la jouissance est quelque chose qui nous rattrape, nous colle, où la raison n'a pas, a priori, sa place.
Par contre ta réflexion me fait penser que si la jouissance appartient au principe fondamental de la vie, le philosophe doit-il dompter le sexe? doit-il s'élever contre la nature et les principes les plus fondamentaux de la vie qui permettent que la vie continue?
(questions valables seulement si on pense d'abord que bonheur philo s'obtient à l'encontre du bonheur sexuel).