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Discussion: Le suicide

  1. #1
    amsaf Guest

    Par défaut Le suicide

    Tout le monde le sait mais refuse de l' admètre our atteindre la Félicité ,le suicide est la seule voie!couic!
    Le problème c'est que pour la majorité,si pas tous,par suicide ils voient directement:la corde,le poison,le fusil,se jeter dans l'eau,etc .et c'est ce qui pousse toujours les humains à se ruer sur des gens avec des croix,cigues,assassinats,etc
    IL faut mourir:quiter ses apparents amis,richesses,honeurs,pouvoirs,puissances,enfants,connaissances,diplomes,etc pour vivre la vraie vie ,seul...pour le bien de tous!

  2. #2
    risboofr Guest

    Par défaut

    pour vivre la vraie vie ,seul...pour le bien de tous!
    ?
    vis tu seul si es mort?
    perso, si je suis mort je ne suis pas seul mais inexsistant.
    feectivement, grace à la mort tu quittes tout, car tu quittes avant tout la vie.
    Amoins de croire en Dieu, mourir n'est pas égal à la "Félicité" mais plutot à la cessation de la souffrance, si bien sur celle-ci est présente dans la vie.

  3. #3
    Manhs Guest

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    comment interpréter ces choses ? O_o

  4. #4
    Kinomoto Guest

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    Provient du message de risboofr


    Amoins de croire en Dieu, mourir n'est pas égal à la "Félicité" mais plutot à la cessation de la souffrance
    à préciser que si l'on crois en Dieu le suicide est donc hors propos

  5. #5
    ipseïte Guest

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    Mais que dis tu Amsaf? Je n'y comprends rien et tout ce que j'y vois c'est de l'amertume pour la vie. Pourrais-tu t'expliquer un peu plus? En quoi le suicide est-il la seule manière d'atteindre la Félicité???

  6. #6
    Manhs Guest

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    ca sent la mauvaise interprétation de la religion :x

  7. #7
    Sur le Fleuve Guest

    Par défaut Vive la petite mort

    Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu de telles con**ries.
    Le suicide c’est pour les imbéciles.
    Tout d’abord certains de mes amis proches au tant de ma jeunesse ont décidé de passer l’arme à gauche.
    Et depuis plus de 20 ans je pense à eux à chaque fois que la vie me donne du plaisir, du bonheur.
    Et même parfois aussi du chagrin et de la souffrance car avec le temps et la fin qui s’approche il m’arrive de ressentir à quel points tout m’enseigne que les contraires se rejoignent et résolvent ainsi toutes les énigmes.

    Plutôt que de penser à des conneries tu ferais mieux de t’intéresser aux filles, là existe une vrai prise de risque viril et à leurs contacts tu en apprendra bien plus sur toi même et sur le monde que dans toutes les stupidités mystiques et autres régurgitations intellectuelles, qui ne sont que le signe d’une insatisfaction bien légitime lorsque le désir près existe au pouvoir, comme c’est souvent le cas au début de la vie.

    Trop s’intéresser à Dieu c’est trahir l’homme.

    Passer l’arme à gauche est une expression pleine de sens. Il ne faut pas se rendre nous sommes là pour vivre, et vivre c’est combattre contre soi-même contre l’adversité pour plus de bonheur et pour plus de générosité.

    Dans les bras d’une femme à moins d’être malade ont ne peut avoir envie de mourir réellement.
    Si tu en a envie c’est que tu penses mal.

    Il y a un secret de la vie dans l’amour des mères, n’est-ce pas un grand mystère qu’après toutes les souffrances de l’accouchement les femmes aiment leurs enfants malgré la douleurs physique que ceux-ci ont occasionné ?
    Il en va de même de l’amour de la vie…
    Et parfois une vie n’est pas trop longue pour percer ce mystère

    Quand au désir de mourir, il est inspiré par l’état de fait suivant.
    Pour bien vivre il faut… mourir ! Mais pas physiquement !
    - D’abord pour bien penser il faut prendre de la distance avec soi-même (une forme de l’arrachement)
    - Pour se régénérer, il faut tremper son âme dans le collectif à travers la transe par exemple ou en se fondant dans la foule de l’humanité et son inconscient collectif cela aussi est une forme de mort qui régénère.
    - Enfin dans l’amour et dans l’acte sexuel il peut y avoir une disparition momentanée du sujet (tout les chemins mènent à Rome et celui là est facile d’accès) et donc dilution de l’individu, (on appelle cela la petite mort)
    - Et puis bien sur et avant tout il existe la mort initiatique attribut des sociétés traditionnelle mais qui existe encore à l’état sauvage dans nos sociétés modernes, épreuve souvent douloureuse qui marque l’abandon de l’être de l’enfance au bénéfice de l’être adulte qui posséde lui un statut sociale et métaphysique. (voir : Le Mythe de l’éternel retour de Mircea Eliade aux éditions Gallimard)

    Voici pourquoi les jeunes qui se suicident sont des gens qui ressentent un appel mais qui ne le comprennent pas. Un peu comme le mythe de Juda qui déçu de comprendre que le royaume dont parlais le Christ n’était pas sur terre décida de le trahir…
    Erreur tragique, erreur fondamentale, raisonnement erroné qui ne prend pas la bonne mesure de la condition humaine, ni ne perçoit le monde qui l’entoure.

    Car en ce monde tout prospère et nous enseigne à faire de même.
    Abandonne les Dieux à leur propre sort, il y a mieux à faire.

  8. #8
    Date d'inscription
    December 2002
    Messages
    69

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    Ce qu'on cherche c'est- peut-être- fuir une souffrance mais pas la vie.
    On jette le bébé avec l'eau du bain.
    En parler permet de comprendre la confusion.
    S'il( celui qui veut se suicider) cherche à échapper à une passion, à des souffrances, à des douleurs, ne peut-on pas dire: qu'il fait disparaître le moi alors qu'il veut faire disparaître autre chose que le moi: qu'il se trompe d'objet, qu'en réalité ce n'est pas à la vie qu'il en veut? Peut-on dire que l'acte vient de lui ou de ce qu'il subit? En ce sens le suicide ne serait-il pas négation de la liberté.
    C'est ce que j'ai appris par des dialogues, en particulier chez
    certains qui avaient une impulsion à essayer...

    J'ai trouvé ça sur philagora et je suis d'accord:

    http://forum.philagora.net/showthrea...hlight=suicide
    Bonne journée à tous
    Dernière modification par Nemod 23/12/2003 à 10h42

  9. #9
    risboofr Guest

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    Lire ce que tu écris, Sur Le Fleuve, me file des boutons!
    Le suicide c’est pour les imbéciles.
    C'est d'abord pour les malheureux, s'ils sont imbéciles c'est qu'ils sont abrutis par la souffrance.

    Tu crois que c'est en disant ce qu'il devrait faire (aller voir les filles), qui lui rappelle avant tout douloureusement ce qu'il ne fait pas alors qu'il le sait déjà (surtout les filles, dès 10 ans on s'y interesse), qu'il va aller mieux? Encore pire si c à cause des filles, qu'il y a déprime.
    T'as qu'a lui dire "secoue toi", "vois la vie rose", ça le meme effet!

    Finir ton message avec une solution, en kit, du parfait petit bonheur sur terre, valable pour tous, me fait bien rigoler .
    c ta solution à toi, c tout!
    et puis n'oublie pas de dire de qu'elle obédienve tu es, bien que ton pseudo et le dernier signe nous donne des indices, il s'agit d'éthique, voire de déontologie: toujours dire à quelles "théories" tu te réferes.
    Peut-etre es tu boudhiste, ou tu t'y interesses, mais pourquoi ce ne serait pas une religion? Car il n'y a pas de Dieu? mais celui-ci n'est pas indispensable!! bien qu'important.

    Tu écris
    Voici pourquoi les jeunes qui se suicident sont des gens qui ressentent un appel mais qui ne le comprennent pas.
    Peux tu me dire ce qu'est un appel? Pour moi il contient un caractère religieux.

    Enfin, je dirais que vouloir se suicider, c'est s'intéroger sur sa mort, peut-etre comme solution, mais aussi ce qui est "au bout de la vie", donc interroge celle-ci.
    C'est un pas vers une interrogation de a vie, qui peut paraitre maladroite car la vision du sujet est tronquée.
    Mais c'est en répondant à la question "comment ne pas se suicider?", q'uon trouve ses ressources et les sources de la vie!

  10. #10
    Sur le Fleuve Guest

    Par défaut

    Provient du message de risboofr
    Lire ce que tu écris, Sur Le Fleuve, me file des boutons!

    Et bien moi je trouve ta réponse quelque peu injuste et injustifiée.
    Mais facile puisque toi tu n’apporte aucune réponse.
    A propos des filles tu fais référence à un enfant de 10 ans et je ne vois pas pourquoi, puisque « amsaf » a 30 ans. Peut-être s’agit-il d’un souvenir qui t’est personnel.
    Et sinon je te rappelle que le sujet déclare vivre en Afrique, moi qui vit aussi loin de l’Occident je sais qu’il n’y a pas de difficulté particulière à trouver une compagne voir plusieurs.

    Je ne crois pas qu’il faille être mou avec les gens qui souffre, car pour dépasser cet état mortifère qui pousse au suicide, il faut quand même serrer les dents un minimum. Je sais que c’est une offense à la théorie de ta formation. Mais je me permettrai de te rappeler au deux ou trois choses :
    - On ne peut pas aider quelqu’un qui prend du plaisir à cet aide
    - Les secours payant d’un psychologue ne sont pas toujours la panacée
    - Les idées issues du politiquement correct et du bien pensant ne sont pas la panacée à la douleur des hommes

    Je n’apporte pas une solution en kit mais mes réflexions personnelles qui m’ont permit à un moment de m’extraire de cette glue qui m’aspirait vers la mort.

    Je ne suis pas d’accord avec toi !
    Mon discourt se passe de référence religieuse et je n’ai pas à nommer un Dieu ou une religion sur lequel je fonderai éventuellement ma vie (ce n’est d’ailleurs pas le cas).
    Si je parle des Dieux quel qu’ils soient c’est parce que le préambule de « Amsaf » est indéniablement mystique et que cette mystique semble préjudiciable à la vie.

    OH ! Aveugle l’appel auquel je fais référence, n’est pas un appel mystique mais un appel au changement. Comme disait « Nemod », il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Ainsi il s’agit juste de tuer l’ancien pour que le neuf apparaisse. Ainsi donc juste se débarrasser des systèmes, des croyances, des habitudes qui ne sont plus viables, un peu comme une mue.

    Tu dis
    ... Mais c'est en répondant à la question "comment ne pas se suicider?", q'uon trouve ses ressources et les sources de la vie!"
    Là franchement tu enfonces des portes ouverte!

    Et puisqu’il faut tout vous justifier Monsieur le psychologue, vous noterez que je fais référence à d’ancien amis qui ont commis l’irréparable, ce qui m’inspire une colère malgré le temps écoulé toujours aussi vivace, persuadé que je suis qu’aujourd’hui ces morts auraient été bien content d’être en vie et d’avoir pu jouir de tous les bonheurs et les plaisirs que la vie leurs aurait finalement servie même si ce fut avec parcimonie….

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