L'intégrité.
Au sens propre c'est la virginité.
Par suite le terme désigne ce qui n'a pas été atteint au point de perdre
quelque chose de lui même: le tout qui n'a perdu aucune de ses parties. c'est
intégralité qui désigne la quantité alors que intégrité a un sens
qualitatif, d'où le sens moral de vertu de ce qui est sans mélange.
Au sens moral, il désigne ce qui n'a pas été corrompu, la probité de ce
qu'on ne peut pervertir.
Vous pouvez l'introduire en l'opposant à l'altérité. Ce qui est susceptible
de devenir autre en fonction des circonstances, de perdre une partie de lui
même, son honnêteté par exemple.
La difficulté sera d'insister sur le dernier sens sans pour cela perdre de vue
la racine, l'étymologie les autres sens.
Comme problème vous pouvez toujours poser le problème de l'existence, de la
possibilité: est-ce une pensée, ou une connaissance comme détermination d'une
intuition sensible par un concept; idée ou concept?
Remarquez la puissance de l'idée: c'est un principe régulateur qui permet
d'évaluer par comparaison.
=> il a les mains pures mais il n'a pas de mains.
=> L'absolu, ce qui a sa raison d'être en soi, ce qui est sans mélange
pathologique d'intérêts sensibles, n'est-ce pas la pureté de la belle âme
qui n'agit pas?
=> Voir dans cette page ce qui concerne la belle âme http://www.philagora.net/ph-prepa/di.../intention.php
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Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir