Que mon cœur burlesque se meurt dans les tréfonds
De l’ocean des larmes pluvieuses ne te mens plus
Car jamais, les yeux des Autres insufleura le déchu
Amour perdu aux allures de haine qu’On

Récupère facilement, et qu’on glappe le train
De la vie que peu empreinte, neamoins joue
Le servile plancton en joug
Joue gaiement le malheur, pour ne pas perdre le crin

Du bonheur gallopant dans les vastes et vert émeraude
Etendu, où caché, une forterresse japonaise règne
En roi de bonheur sauvage, et trompe les mesquins qui rôde
Le gentil Mifune mal rasé, qui sort son sabre comme une teigne

Avec rire et moquerie pleutre noblesse royal
Apporte les valeurs et se rit de nous
Où est ce que le libre peut ne pas apparaître fécal
Où, le libre peut ne plus être hypocritie, et tend le cou

Humble vérité, rigole petit mesquin d’allègresse et de transport
Drôle, vous êtes vous hommes de droit aux apport
Quotidien de servilité souffreteuse
De ne notre propre et blanche misère cajoleuse