Parade de vent d’automne remue les orange feuilles
Sur le port de Quimperley, approche de noirs nuages
Posé sur la digue de gris carreau, tassée par les pas et les âges
Veste noir contemple l’éclair menaçant, détruisant par un délire cercueille
Le calme tonitruant de l’active eau verte balloté
Tucle liquifie le brillant blanc rayons
Qui d’un phare cannotier éclaire les tréfonds
Du bonheur limpide de misericorde tocbohuté
L’agonie est ton triomphe
Jubilatoire farine de spectre maquillant
S’émiette sur le crâne bariolé
Rouge nez clownesque désoeuvré
Joug impuissant des larmes incessant
mmmmmmmmmmmmmh
merci pour ces divins vers..
c'est beau, c'est magique, ca me transporte..
comme disent les petits : encore !