Regard sur Morts venantes…

La création ! l’idée de pont que nous sommes
Assure chez l’autre l’assurance de l’impossibilité souveraine
Car jamais nous ne pouvons nous engagez dans notre fin sans haine
Du suivant ! frotons nous les mains et détruisons lui sa Terre… sâle surhomme

Venant bientôt ! tu seras obèse, gras et liquéfié
Tu teteras les puissance d’Antan comme nous !
Tu ne pourras plus créer, mais ne t’inquiète pas L’un a déjà tout
Fabriquer creuvasse d’amertume… carresse la détresse pour notre enjoué

Mort quotidienne et rapide montage manipulateur
Et télévision schiure ! sciure d’un bois presque déjà consommé par l’heure
Quelle bétise d’acclamer les faiseurs de ligne horizontale
Oublions cela ! aimons les vases, aimons les plats, mais que s’érisse

Le dard incertain de la création faite puissance, homme !
Ne nions pas notre origine verticale
Puisse un jour rendre grâce à la femme câle
Malheur qu’elle soit comme cela ! la seule consommation de Nature c’est la femme

Pourquoi l’assujetir à la honte à la faute
Elle est tout, notre origine, notre quète
Ne nous égarons pas en la plagiant haute
Menace sublimant tout de meurtris faits


Liquide infructeux se désagrège en moi
et mon corps s’emporte dans les temps de l’Haineuse
relation, le bonheur de tout ceux qui par loi
approuve le transfert de l’injuste moissoneuse

de cerveau, frappe le serpent ,créa des sous monde
Invoquant le contre bien originel de ses mains
Pustulentielles arbore la Terre d’un grand voile teint
De blanc sang ; Crever comme J’ai souffert sous l’immonde

Folie dirigeante et court terme de jouissance
Celebre la cretinerie et l’avarice
De ces soins, de ses aspirations, balance
Mortuaire, vis inertiae, flotte sur Terre comme flotte la pisse

Dans l’eau

La folie égarant les désir de sang dans l’onde
Qu’une goutte de nuée fabrique de ses mains

Tel ce visage acariatre de la routine, meurt
Dans les bras liquefiant de l’amour societaire
Empèche le chat de décliner la générosité implacable
Augure de mauvais Bien failli mon âme
Morcelle
Les
Cendres
Tonnerre ardent perdant la sollissitude du
Ron ron
Quotidien pleurant son acre douleur< aime le morbide
Flatteur de soi
Charie la roue démesurée
De l’onde flagrante
Aime être con
Tel est ton lot
Mais ce con si soigneusement
Bien gardé
Pourquoi le fustigé
L’abstiendre, tel des proies voguant sur les amovibles
Pourquoi utilisé le savoir de la souffrance inférieur
Ah ah ah ! inferieur dans ce monde bas
Mais la femme, le con, sont les être idéale
Je dis bien être et non pas atitude
L’homme crétin tel un corbeau mal
Interprété
Change toute chose, caresse la mort de son ame vertueuse
Oblige le gueux à érrisser son drapeau hors du domaine
Hors, le seul fait de guetter la mort comme
Une punition
Oblige la négation de toute chose
Et Me plaindre est absure dans le tonnerre , dans les éclaire, qu e j’aimerais pisser avec la pluie
OH ! gore quotidien de la perdition de ….
Finit tel ainsi………………..