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Discussion: Liberté et conscience morale

  1. #1
    CroNo Guest

    Question Liberté et conscience morale

    Bonjour à tous !!!!!!!!!!!!


    J'aimerais vous demander de l'aide sur un sujet qui me parait
    important et qui me touche personnellement très profondément,
    vous pouvez laissez votre avis si ca vous dit que l'on débatte
    ou si vous en connaissez laisser des références à propos
    de ce sujet ( style des grands auteurs quoi )

    Alors voila,


    La conscience morale peut-elle déterminer à elle-seule la volonté de la personne, et ainsi la contraindre à " faire le bien " sans
    liberté ( je pense notamment au poids du regard des autres,
    à la culpabilité et au surmoi mis en évidence par Freud, ou encore
    au personnalitées de type obsessionnelles (notions de psychiatrie ) qui sont psychorigides à propos des règles de morale )

    Ou bien croyez-vous en la possibilité dun certain affranchissement de la volonté, d'un certain désintéret ( pas complet certes mais au moins partiel ) et d'une certaine
    maturité qui permettrait au sage ou à celui qui recherche la sagesse de véritablement se placer au dessus de son ego pour veiller sur tous y compris lui.


    Personnellement, étant moi meme un obsessionnel, jai fait lexpérience dans mon adolescence dune chose assez étrange ( surement un pb inconscient ) : j'avais limpression que si jaidais les autres qqchose de bien aller marriver ( croyance magique donc......!!) gt donc moral par pur interet
    Mais une fois que jai découvert la philosophie jai compris le déterminisme dans lequel gt enchainé et il me semble maintenant réussir à etre " désintéréssé " et faire le bien uniquement pour le bien mais ce n'est peut -etre qune impression ???
    Selon vous, la psychanalyse peut-elle aider à comprendre mieux
    les forces qui sont à l'oeuvres dans nos choix éthiques ???



    Si vous voulez partagez des expériences que vous avez vécues nhésitez pas

    Merci d'avance
    Bonne continuation à tous


  2. #2
    chouchou007 Guest

    Par défaut Je tente une réponse sur le sujet

    Commençons par une réponse triviale

    - De par ma propre expérience, je suis tenté de dire que la contrainte et la force précèdent la morale et la volonté de faire le bien. Une des conséquences de cela est que par exemple, on ne met pas en avant le droit international comme la France l'a fait lorsque l'on est en face d'un régime potentiellement dangereux comme celui de Saddam Hussein
    Autrement dit, il me semble que chacun est tenté de respecter le droit ou une certaine morale si il a intériorisé l'existence potentielle d'une sanction ou d'une punition en cas de dérapage, d'écart à la morale ou au droit
    Bien sûr, cette référenceà la sanction peut par la suite être trasncendée par l'individu, et peut être peut on alors parler d'un certain cheminement vers la sagesse. Mais la présence d'une autorité et d'une force physique ou morale (Armée, Police, Justice, Gouvernement), sont les garant indispensables au maintien d'une paix sociale rendant possible les attitudes moins 'sauvageonnes'
    Quant à l'idée que l'on va être récompené si l'on fait le bien, c'est certes une idée un tout petit peu 'juvénile' à laquelle il n'est du reste par interdit de se raccrocher. C'est peut être une étape obligée sur la voie de la sagesse, pour prendre conscience plus tard qu'il ne faut pas avoir de vision comptable de son rapport au bien et au mal
    Pour ma part, lorsque j'essaie de bien faire, c'est parce que je me dis que la vie serait à terme insupportable si l'on se mettait à foncièrement mal agir. Mais agir bien, n'est pas toujours facile, parfois même impossible, alors ...

  3. #3
    CroNo Guest

    Par défaut Merci

    Merci pour ton message et ta réponse. Dès que j'ai un peu de temps j'essaie de répondre si jai des choses à rajouter.

    Si vous voulez vous exprimez n'hésitez pas
    Bonne journée

  4. #4
    Claire H.-L. Guest

    Par défaut

    La première réflexion qui me vient à l'esprit se rapporte au conditionnement dès l'enfance à faire plaisir à maman, à papa, etc. Sinon, on fait pleurer maman, fâcher papa... Si on nous enseigne. Les religions renforcent souvent la notion de renoncer à son bonheur personnel pour aider son prochain, une cause....
    Quand on entreprend une cause comme mère Térésa par exemple, il faut en retirer une satisfaction personnelle, sinon on ne doit pas tenir longtemps.

    Une deuxième réflexion se rapporte à la liberté. C'est si bon de se sentir libre. Sans doute la liberté doit s'exercer selon des normes de morale naturelle. Toutefois nombre de gens ont subi très tôt un étouffement de leur liberté. En prenant conscience de cette lacune, c'est leur devoir de la faire rejaillir afin de trouver la joie de vivre, laquelle, comme le soleil, possède des rayons qui rejaillissent sur autrui.

    On rejoint le "Connais-toi toi-même" de Socrate.

    Merci CroNo de me permettre des réflexions qui j'espère seront complétées ou confrontées par d'autres participants.

    Claire

  5. #5
    jacymara Guest

    Par défaut

    alors, je sais pas si ma réponse va t'aider, je sais pas encore philosopher...
    je pense qu'on est tous porté à faire le bien parceke c ds la nature humaine, et ça fait partie de l'inconscient. je crois aussi ke ton idée d'être récompensé de faire le bien est juste.
    on doit faire le bien pour faire le bien et non pour être récompensé mais faire le bien veut dire aider les autres et donc les aimer. je crois ke avec ça on sera bien assez récompensé la haut.....

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