La propriété privée gangrène la société actuelle et les mentalités de chacun. On se sent propriétaire de sa culture, on en devient raciste; on se sent propriétaire de son compagnon, on en devient violent. La propriété privée est le facteur premier qui guide l'affect des citoyens de cette société.
Les "gens" sont-ils prêts à être libérés de ce carcan? Sont-ils prêts à vivre la liberté que Sartre dépeint comme la plus écrasante des responsabilités? Les femmes étaient senties inaptes au droit de travailler, force est de constater l'erreur, les "gens" étaient pressentis inaptes au droit de vote, force est de constater que le système fonctionne, les jeunes pressentis inconscients et insouciants, intrus à la vie politique, leurs idées changent le monde. Alors doit-on avoir confiance en l'humanité après avoir assisté aux horreurs dont elle est capable?
Le mal est-il une fatalité?