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Coucou
Bon voilà mon problème : Ma dissertation de Philo !!! Aïe aïe aïe :oh
Je dois répondre ou du moins "argumenter" sur cette question :
"Notre nature nous indique-t-elle ce que nous devons faire ?"
Très interressant ! N'est ce pas ? :aahhh
Bref, j'aimerais que vous puissiez m'aider car franchement ça ne m'inspire pas du tout !!!
En tout cas, merci d'avance et bonne continuation ! :Po)
Bonjour
Remarquez le "notre": ce qui est dans le propre de l'homme, en chacun.
"devons" le sujet porte sur le devoir. Or le devoir ne peut être que pensé librement par la conscience. La conscience de soi est la seule à nous permettre de penser ce que nous sommes (liberté, dignité) et ce que nous devons faire. Elle ne nous le dit pas.
Une clé: "La vraie question morale... est celle de savoir si nous n'avons qu'une nature ou si nous en avons deux. Si nous n'avons qu'une nature... la tâche de la morale est bien simple: elle consiste à laisser cette nature poursuivre ses fins. Mais si la pensée constitue en nous une seconde nature, supérieure, en valeur et en dignité, à notre nature animale la possibilité du devoir apparaît aussitôt... " Lachelier.
Notre nature ne veut pas dire qu'il y a une nature humaine mais que par une part de nous-même nous appartenons à la nature déterminée. Si nous agissions par instinct ce que nous devons faire serait déterminé par lui.
Mais ne peut-on considérer que chez l'homme se trouve une dualité:
la conscience de la vie, et la pensée, la conscience de soi. La conscience de soi nous indique ce que nous devons faire. Comment?
http://www.philagora.net/dissert2/conscience-devoir.php
:)
Bonjour,
Dans un premier temps, pouvons-nous définir ce qu’est la Nature ? [le vent, la terre, l’air et le feu, associés, ont-ils permis la Vie et son expansion ? Peut-être] ! Nous, que sommes-nous dans l’évolution de la vie, quel maillon du continuum (qu'en pensez-vous) ? Qu’avons-nous de +, ou pensons-nous avoir par rapport à l’animal qui nous constitue encore, tout en nous précédant ? La conscience peut-être, ainsi qu’il est suggéré avant ! (cet espèce de "gratouille constante" qui démange et que certains aisent ! Qu’est-ce que faire bien, qu’est-ce faire mal ? Est-ce la société, la famille qui nous inclinent à penser ainsi, ou est-ce ce petit caillou « blanc » dans la tête, ou dans le goulot, qui tente de retenir l’action, le bras et dont l’autre face tente de chasser la réponse ?
Cette réflexion, cette interrogation, cette retenue, fait-elle partie de l’affect, ce lien charnel/dense>/émotif ou plutôt à une sorte d’inconnu (e) non tangible, élevée, sourdant en nous, dont certains aiment à étouffer l'écho ?
Notre pseudo nature humaine, n’a-t-elle, n’aurait-elle pas, ne contiendrait-elle par une certaine « Raison » d’analyse, hors l’affect ?
Vous qu'en pensez-vous ?
smrigole
Pour compléter (le message étant parti, maladroitement, de mon fait, avant que je ne vous ai posé une autre question) ; pensez-vous que la question ainsi posée ne soit pas un pléonasme : Notre nature, - ici nous parlons d'humain à humain - humaine, loin de l'oxymore !