N’importe quoi voila comment on bâti un raisonnement en jouant avec les mots comme avec un tambour. On en arrive à l’absurde.Citation:
Provient du message de Timshel
"Pour revenir au sujet du début, “ce que veulent les femmes”, on ne peux pas passer à côté du fait que toute femme est un homme et que tout homme est une femme par son comportement (et cela même quand les femmes était à la maison, vu que ce sont ces femmes qui se sont battues pour leur émancipation…) et que le fait de vouloir savoir ce que désire l’autre sexe ne revient qu’à vouloir connaître nos propres désirs…(ce serait presque un cercle vicieux que ça ne m’étonnerait que peu… ! )"
Les femmes seraient des hommes ??
Donc pour être reconnu comme hétérosexuel, il faut être homosexuel ?
Il y a quelque chose qui m'échappe là, mais je n'arrive pas à saisir quoi..
A croire que la zoophilie est le meilleur des partis pris !!
- Les intérêts des hommes et des femmes sont contradictoires.
L’admettre c’est un premier pas vers le vivre ensemble sinon à coté ce qui est déjà pas mal.
- L’autre est toujours et avant tout l’objet du désir et nous sommes l’objet du désir de l’autre (désir compris dans son sens étendu). Ainsi nous n’approchons l’autre qu’à travers le prisme déformant de notre désir et inversement.
Cela c’est le deuxième pas
- Les gens qui nous aiment ne nous font pas que du bien et c’est valable pour nous aussi
Admettre cela c’est un pas décisif non pas vers l’autre mais vers l’amour, le véritable.
- Et enfin comme disais Lacan « L’amour c’est vouloir absolument donner quelque chose qu’on a pas à quelqu’un qui n’en veut pas… »
Personnellement l’irruption du social dans la relation amoureuse m’a toujours donné envie de vomir. Même si nos comportements amoureux sont largement influencés par le social.
La libération de la femme ou la féminisation des hommes me semble être des balivernes.
La clef du vivre à deux ou plus, passe par l'humilité et l’absence de morale et d’illusions sur soi-même et sur l’autre, qui n’existe pas vraiment au font puisqu’il est si imparfaitement perçut.