heureux qui comme ulysse; la philo comme voyage
cher januscream
ton message comme d'habitude m'a ouvert de nouvelles perspectives et je t'en remercie.
imaginer le sous programme comme un virus est génial.
cela expliquerait l'abherance de l'humanité.
cela exxpliquerait que comme dans une pandemie certains soit atteints et certains soit indemnes
cela expliquerait que quelques un en guerissent et d'autre en meurent
cela expliquerait les mutations et l'evolutivité du sous programme (mutation).
Quelle magnifique image.
mais la question que je me pose n'étais pas là.
N'est ce pas à l'éducation philosophique de rattraper les defauts d'installation. Ne devrait-il pas exister des lecons de "savoir vivre" obligatoire a l'école.
Ne devrait-il pas exister des cours sur l'apprentissage de l'autre, sur la vie en couple.
n'est ce pas des questions beaucoup plus importantes que " qu'est ce que la sagesse ".
un ami trop serieux.
j'espère que tu me feras beaucoup réfléchir et sourire.
Ps le voyage forme la jeunesse.
réponse vraiment tres lente
Citation:
Provient du message de Lesaigneur
si au moin on avait vraiement le temps de faire vraiement connaissance avec tout le monde lol) pas si facil
cher ami
ta phrase d'allure anodine ne m'a pas vraiment interpellé a première vue.
mais elle soulève, me semble-t-il tout la problématique de la morale et de son paradoxe.
comment vivre à plusieurs, en société.
Aloui ( que je salue amicalement ) risque de revenir avec l'accord.
La question plus profonde était: ne doit-on pas enseigner la morale. Toute la philosophie ne tourne-t-elle pas autour?
tres amicalement
ECOUTEZ MOI CAR MOI JE SAIS !!!
(Nan, j'déconne, j ai juste une petite idée sur la question)
Comment supporter de vivre comme nous vivons aujourd'hui ?
Je parle du mode de vie qu'on mène dans les grandes villes.
Les gens n'y ont plus d'identité, ils n'ont plus de preuve concrète d'appartenir à un groupe.
Pour s'en rendre compte, comparons la ville au village :
-Dans le village, tout le monde connait tout le monde, et tout le monde salut (ou insulte) son voisin.
Bref, tout le monde a un lien avec les gens qui appartiennent à son quotidien.
-Dans la ville, on ne connait pas son voisin, les gens qu'on croise dans la rue sont quasi tous de parfaits inconnus, on ne discute plus avec sa boulangère etc...
On y evolue dans l'anonymat.
En partant de ce constat, comment developper la conscience et le respect de l'autre si on ne sait pas qui il est ?
Mais je ne fais ici qu'une comparaison passé/présent (village/ville) sans essayer d'apporter de pistes sur la réelle question :
"l'homme est il par essence égoïste ?"
MOI JE dirais seulement que l'évolution de notre mode de vie ne nous aide pas à développer notre générosité, mais cultive notre égocentrisme.
PS : Merci d'avoir flatté MON égo par votre altruisme en lisant MON post.
non bouteille à la mer, sos (en anglais)
Citation:
Provient du message de DAVID
(Nan, j'déconne, j ai juste une petite idée sur la question)
MOI JE dirais seulement que l'évolution de notre mode de vie ne nous aide pas à dévelloper notre générosité, mais cultive notre égocentrisme.
cher david
merci de ta réponse.
OK je ne suis pas tres simple, pas vraiment les idées claires
Ce qui m'obsède est la notion de "moralité" et de religion.
Je crois comme toi que notre mode de vie cultive notre égocentrisme et même notre égoisme (bien mal)?. Mais ne crois tu pas que le "mal" est plus profond. Ne s'agit-il pas plutot d'un conflit homme individu- homme société?
Avant nietzsche ( peut etre pas lui le responsable), la morale chrétienne était collective. Tout un chacun savait ce qui était bien et mal. La faute était désignée.
Depuis nietzsche et freud, l'homme s'est libéré de l'emprise. La morale est devenue individuelle. Chacun cherchant à l'accomplissement personnel (tout du moins les forts). Il n'existe plus de morale collective. Chacun trouve le bien où il peut.
je ne veux pas du tout être peremptoire, ma vision est tres probablement simpliste.
n'y a -t-il pas conflit? l'hommme va mieux mais la société est devenue instable à mon sens.
je n'arrive pas à savoir si c'est " bien ou mal".
Ne faut-il pas réapprendre une moralité basée sur l'autre (évangile en définitive pas si mal ) plutôt qu'une de l'accomplissement personnel.
faut-il privilégier l'homme individu ou l'homme société. Ou peut-on etre optimiste et espérer que l'homme individu entrera en symbiose avec l'homme société. L'éducation serait-elle utile?
cher david j'espère que tu pourras m'apporter quelques eclaircissements. Connais-tu des ouvrages que je pourrais lire sur ce sujet (hormi levinas et jankelevitch)
tres amicalement.
ps: je n'affirme rien, je cherche fortune.