Peut-on vouloir le mal?

merci de bien vouloir m'aider pour ce sujet.
J'ai déjà pensé à plusieurs sources, Platon et Leibniz pour une réponse plutôt négative, mais je n'ai pas vraiment d'arguments pour l'inverse.
D'avance merci

= http://www.philagora.net/grenier/kant.php
= http://www.philagora.net/ph-prepa/bernanos.php
= http://www.philagora.net/prepa5.php

Ou encore:
Peut-on vouloir le mal?<br>
Peut-on vouloir le mal en toute connaissance de cause, sans se tromper: le choisir:
*Voir dans philo-aide Prépas http://www.philagora.net/prepaid.php :
le mal http://www.philagora.net/prepa5.php la page sur <font color="#FF0000">Bernanos: Bernanos arrache le masque: *le mal, comme le bien, est aimé pour lui même, et servi</font> http://www.philagora.net/ph-prepa/bernanos.php !<br>
Puis, dans aide aux dissertations <a href="http://www.philagora.net/dissert.php">http://www.philagora.net/dissert.php</a>
: l'aide <font color="#FF0000">N°78 peut-on être méchant ...</font>.?<br>
Le problème: pour vouloir le mal, encore faut-il qu'il y ait une réalité du mal:<br>
La réalité du mal.<br>
On peut s'étonner: il faut avoir les yeux fermés pour poser une telle question!<br>
=&gt;Le mal ne serait-il qu'une privation, une négation au sein d'une substance? (&quot;Il n'est pas une essence, ni une réalité.&quot; Gilson, Le thomisme, page 216).<br>
Immédiatement, le mal apparaît comme ce qui contredit l'homme comme être raisonnable sensiblement affecté:<br>
-ce qui contredit la raison au sens de rationnel (désordre, imperfection) comme au sens de raisonnable (faute, péché).<br>
-ce qui contredit la sensibilité (douleur physique, souffrance morale).<br>
&quot;On peut prendre le mal métaphysiquement, physiquement et moralement&quot; Leibniz, Théodicée, I, &amp; 21.<br>
=&gt;Analyser contredire.<br>
Le mal peut être une essence qui empêche réellement ou une simple absence. (Une absence n'a de réalité que par ce qui est absent), le mal serait-il la simple absence du bien (Epicure, <a href="http://www.philagora.net/bonhepic.php">http://www.philagora.net/bonhepic.php</a>
<i>Lettre à Ménécée</i>, analyser l'aponie, l'ataraxie.<br>
=&gt;Peut-on aller jusqu'à dire que le véritable support du mal c'est le bien? (Gilson, Le thomisme, page 217).<br>
=&gt;Si le mal c'est simplement l'absence du bien, on ne pourrait vouloir le mal consciemment et pourtant ... Voir - <b>Bernanos</b> (lien plus haut)

=&gt;Si le mal a une réalité quelle est telle? Comment l'observer? où? Quand?
Voir dans aide aux dissert. <a href="http://www.philagora.net/dissert.php">http://www.philagora.net/dissert.php</a>
l'aide<font color="#FF0000"> N°86 Y a-t-il un devoir de mémoire</font>?<br>
Qu'est-ce qui nous permet de dire que le mal n'est pas une simple déception d'un animal conscient et intelligent?<br>
=&gt;Qu'est-ce qui nous permettrait de dire que le mal et singulièrement la haine du mal n'est que le travestissement des antipathies personnelles.<br>
Une lectures bien stimulante: Simone Weil, <i>Connaissance surnaturelle</i> (La création est péché, page 71 - une plaisanterie de Dieu, page 222- Le bien est hors du monde, page 79 - La créature est esclavage, page 327 - La création est abandon, page 49 - La création pour Dieu n'a pas consisté à s'étendre mais à se retirer - Le grand crime de Dieu envers nous c'est de nous avoir créé...
etc). Ce qui revient à dire que la chair est vivante donc est mauvaise.

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