"Peut-on être étranger à sa propre culture ?"
Quelqu'un peut-il me donner quelques pistes d'études de mon sujet, svp ? Merci.
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"Peut-on être étranger à sa propre culture ?"
Quelqu'un peut-il me donner quelques pistes d'études de mon sujet, svp ? Merci.
Salut. Voici quelques idées :
-Ëtre étranger à sa propre culture : Est-ce être un "barbare", la culture étant entendu comme civilisation ? Enjeu: autonomisation d'une sphère sur une autre, séparation des sphères sociales basée sur une division du travail. Conséquence : Différents niveaux d'intégration de la tradition, selon que l'on possède un C.A.P en plomberie ou que l'on achève sa thèse en philosophie ; que l'on travaille en boulangerie ou que l'on est commisaire d'exposition.
-Etre étranger à sa propre culture : Sous quelles conditions ce qui nous est propre pourraît devenir le plus lointain ? Enjeu : echec possible de la transmission, évolution de la société civile en désaccord quant à ses buts avec la sphère de la Culture.
Ces idées ne sont que des pistes, voire des amorces à un dialogue quant à un sujet qui me semble bien délicat...
A lire et relire ton sujet, je ne vois qu'une interprétation cohérente; je reformule: Peut-on n'avoir rien mis de soi dans l'acquisition de sa culture? La culture peut-elle toute venir d'ailleurs, juste greffée sur notre personnalité?
Etranger: du latin extraneus, "étranger", incompréhensible, étonnant, qui est autre en parlant d'une nation.
Propre : celle qui nous a faits ce que nous sommes
Pour une accroche: le marginal ?
http://www.philagora.eu/educatif/ind...ennemi_societe
Peut-on être étranger à son propre passé?