Il y aurait grand intérêt de comparer la conception:
1) de l'individu
2) de la liberté
dans le monde occidental et en Chine.
Opposer le cartésien pour qui 2+2=4 et le chinois pour qui 2+2 = 22
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Il y aurait grand intérêt de comparer la conception:
1) de l'individu
2) de la liberté
dans le monde occidental et en Chine.
Opposer le cartésien pour qui 2+2=4 et le chinois pour qui 2+2 = 22
Matter, ici, le c oeur de la question= le problème
Présentation 1
Notre enquête sur l'individu nous a permis de distinguer l'individu, la société, le sujet (comme horizon de l'individu ).
Mais voici de quoi bousculer cela et approfondir:
Distinguez: je, sujet de "je"," sujet" de sujet.
Ce texte est extrait de Ces corps qui comptent (Bodies That Matter: par Judith Butler
Ce qui est avant le texte éclaire le texte sur le post suivant: 2
Le début est souvent le point de départ d'une déduction: le saisir permet souvent de comprendre la suite
En considérant que l'usage du langage lui même a tout d'abord permis d'avoir été appelé par un nom, l'occupation du nom est celui par lequel chacun est , tout à fait sans choix, situé dans le discours. Ce "je", qui est produit à travers l'accumulation et la convergence de tels "appels", ne peut pas s'extraire lui-même de l'historicité d'une chaîne ou s'élever lui-même pour confronter cette chaîne comme si elle était un objet opposé à moi, qui n'est pas moi, mais seulement ce que les autres on fait de moi; pour cet éloignement ou cette division produite par le réseau des appels interpellant et le "je" pour qui son emplacement n'est pas seulement une effraction mais une capacité ce que Gayatri Spivak appelle «*une effraction facilitée*».
La première phrase part d'un fait peu contestable.
En considérant*: c'est donc un fait peu contestable , évident en quelque sorte, sur lequel la déduction argumentative va s'appuyer, un roc, un point de départ solide.
L' usage du langage permet d'appeler d'un nom.
Avoir été appelé*: importance de la voix passive*: c'est une passion du «*je*»
tout d'abord*: au commencement sans qu'il est eu son mot à dire.
Tout à fait sans choix. Comprendre que ce n'est pas le*»je*» qui a choisi*; Sans avoir part au choix.
L'occupation du nom*: au c oeur du langage c'est ce qui le fait "je" être comme situé dans le discours et structuré par lui.
Celui*: je doute de la pertinence de la traduction (dites moi la tournure anglaise dont vous tirez celui)
La deuxième phrase déduit des conséquences par tautologie*: c'est dire la même chose que de dire...
= donc, en conséquence..
«*Je*» entre guillemets pour ne pas le prendre au sens cartésien de source de pensées et d'actes. Ou si vous préférez pour le distinguer.
Produit insiste sur la passivité de ce qui est produit par autre chose (le langage) que lui .
convergence: ils convergent vers le même point
À travers insiste l'entrecroisement des appels à être ce que l'on ne peut choisir d'être.
Ne peut pas s'extraire*: conséquence de la passivité*: pour s'extraire il faudrait prendre de la distance et se confronter à ce que l'on n'a pas choisi d'être. Mais cela semble impossible*: comment quitter ce qui structure*?
Lui-même*: tout seul
cette chaîne*: qui entrave et qui est une suite d'enchaînement. (x liberté)
Historicité*: devenir passé qui nous a fait ce que nous sommes,un triple mouvement d' effraction, de gommage et de réécriture de soi.
qui n'est pas moi*: mais seulement ce que les autres ont fait de moi par de multiples appels (langage)
effraction facilité: intrusion par un bris (violence) Anglais: Breaking in, mais aussi facilité comme capacité ouverte à qui la saisira.
Les enjeux vous apparaissent-ils*?Citation:
", la colonisation n'apparaît plus comme une domination mécanique et unilatérale qui force l'assujetti au silence et à l'inaction. Au contraire, le colonisé est un individu vivant, parlant, conscient, agissant, dont l'identité est le résultat d'un triple mouvement d' effraction, de gommage et de réécriture de soi." http://www.esprit.presse.fr/archive/...php?code=13807
La liberté, la libération*;
Le problème*: comment se libérer des normes culturelles ,et devenir le lieu , la manifestation d'une puissance libératrice si tout est dit et l'on vient trop tard.
2
Ce texte de J. Butler (paradoxalement assez mal traduit ou mal écrit ) va nous permettre d'avancer dans notre problématique sur l'individu.
Je vais proposer des pistes pour mieux le saisir ou le ressaisir.
Pour le moment chacun peut le lire et tenter de se reconnaître dans sa structure temporelle qui le fait paraître ce qu'il n'est pas . et de s'y reconnaître.
«*La compulsion à répéter une blessure ( mémoire traumatique) n'est pas nécessairement la compulsion à répéter la blessure de la même façon »ou à rester pleinement dans l'orbite traumatique de cette blessure.*Citation:
répétition: le retour du même, paradoxalement , est accompagné d'une certaine capacité.L'auteur l'explicite: elle est mobilisatrice. blessure:( psychosomatique) du corps que je suis; effraction, par exemple un viol.Compulsion = impossibilité de ne pas accomplir un acte.; nécessairementt: est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être.;[I] de la même façon I = ce n'est pas que le retour du même
.Citation:
ne pas sortir, se conformer, répliquer , sans écart, ce qui accompagne , l'environnement du traumatisme, par exemple la réaction émotive, la charge affective accompagnant la blessure comme une lune tourne autour de sa planète.
Citation:
L'auteur veut dire que dans la répétition il y a autre chose que la blessure (effraction) et ce qui l'a accompagné (dégoût par exemplr...) . ( ce sera "une certaine capacité" qui est ouverture pour rebondir si on l'exploite.)
La force de répétition au sein du langage peut être la condition paradoxale par laquelle une certaine capacité - non liée à une pulsion de l'ego, en tant que ...- est dérivée à partir de l'impossibilité d'un choix.Citation:
Relisons pour saisir la capacité: ", la colonisation n'apparaît plus comme une domination mécanique et unilatérale qui force l'assujetti au silence et à l'inaction. Au contraire, le colonisé est un individu vivant, parlant, conscient, agissant, dont l'identité est le résultat d'un triple mouvement d' effraction, de gommage et de réécriture de soi[" http://www.esprit.presse.fr/archive
Citation:
"]'impossibilité d'un choix", éclairé par : ne peut être sommairement refusée, mais ne peut pas non plus être suivie dans la plus stricte obéissance
La structuretemporelleCitation:
La forme
d'un tel sujet chiasmiqueCitation:
relevant du temps constitutif
, dans le sens suivant: dans la place du substantiel ou d'un sujet autodéterminantCitation:
le sujet n'est plus qu'un carrefour, un croisement de termes qui se répondent
ce momentCitation:
ce que cela n'est pas, rejet de la conception classique du sujet auteur de ses pensées et de ses actes. La place est occupée par une anbiguïté
de demandesCitation:
cf structure temporelle
discursivesCitation:
exigences
culturelles est quelque chose comme un carrefour,...un carrefour de forces discursives culturelles et politique qui ne peut pas être compris à travers la notion de «*sujet*»Citation:
notes la multiplicité fort embarrassante: il plusieurs choix incompatibles, pour ainsi dire
.Citation:
car le sujet par son autonomie est par définition maître de son oui ou de son non, maître de ses choix.: conséquence: il n'y a pas de sujet antérieur.
Il n'y a pas de sujet antérieur à ces constructions , et il n'est ni le sujet déterminé par ces constructions*; c'est toujours la connexion , le non-espace d 'une collision culturelle, dans lequel l'exigence de signifier ou de répéter les termes précis qui constituent le «*nous*»ne peut être sommairement refusée, mais ne peut pas non plus être suivie dans la plus stricte obéissance.
Ceci est l'espace de cette ambivalence qui ouvre à la possibilité d'un remaniement des termes précis par lesquels la subjectivité procède ou manque de procéder.
1993.
A bientôt
J. Butler*: Ces corps qui comptent. Routledge,
Voici la fin du texte: texte mal écrit ou mal traduit.
Il n'y a pas de sujet antérieur à ces constructions ,
et il n'est ni le sujet déterminé par ces constructions*Citation:
Il n'y a donc que la connexion, le carrefour, l'intersublectivité
Citation:
ni: il n'y a pas, non plus un sujet déterminé par ces constructions; détermine: produit nécessairement = ni retour du même, tautologie déductible.
;Citation:
le "je", fantôme du je cartésien
c'est toujours la connexion , le non-espace d 'une collision culturelleCitation:
connexion ce qui est lié comme dans un chiasme.
, dans lequel l'exigence de signifier ou de répéter les termes précis qui constituent le «*nous*»ne peut être sommairementCitation:
choc de ce qi s'entrecroise
refusée, mais ne peut pas non plus être suivi dans la plus stricte obéissanceCitation:
sans rien d'autre, sans examen, sans choix
.Citation:
comme si c'était déterminé
Ceci est l'espace de cette ambivalencequi ouvre à la possibilité d'un remaniementCitation:
ce où se déploie l'ambivalence : . ambivalence: d'un déterminisme ou d'une capacité, la possibilité de rebondir
des termes précisCitation:
mise en ordre et donc mis dans un sens choisi par l'esprit
par lesquels la subjectivité procèdeCitation:
d'une conceptualisation (?)
ou manqueCitation:
avance par elle même
de procéder.Citation:
ne le fait pas
Citation:
"Là où était ça, je dois devenir" Freud
J. Butler*: Ces corps qui comptent. Routledge, 1993.
Suite à la demande de Victor vous trouverez l'ensemble du texte en suivant ce lien:
http://forum.philagora.net/showthrea...-Besoin-d-aide!
Matter, ici, le c oeur de la question= le problème
Présentation 1
Notre enquête sur l'individu nous a permis de distinguer l'individu, la société, le sujet (comme horizon de l'individu ).
Mais voici de quoi bousculer cela et approfondir:
Distinguez: je, sujet de "je"," sujet" de sujet.
Ce texte est extrait de Ces corps qui comptent (Bodies That Matter: par Judith Butler
Ce qui est avant le texte éclaire le texte sur le post suivant: 2
Le début est souvent le point de départ d'une déduction: le saisir permet souvent de comprendre la suite
En considérant que l'usage du langage lui même a tout d'abord permis d'avoir été appelé par un nom, l'occupation du nom est celui par lequel chacun est , tout à fait sans choix, situé dans le discours. Ce "je", qui est produit à travers l'accumulation et la convergence de tels "appels", ne peut pas s'extraire lui-même de l'historicité d'une chaîne ou s'élever lui-même pour confronter cette chaîne comme si elle était un objet opposé à moi, qui n'est pas moi, mais seulement ce que les autres on fait de moi; pour cet éloignement ou cette division produite par le réseau des appels interpellant et le "je" pour qui son emplacement n'est pas seulement une effraction mais une capacité ce que Gayatri Spivak appelle «*une effraction facilitée*».
La première phrase part d'un fait peu contestable.
En considérant*: c'est donc un fait peu contestable , évident en quelque sorte, sur lequel la déduction argumentative va s'appuyer, un roc, un point de départ solide.
L' usage du langage permet d'appeler d'un nom.
Avoir été appelé*: importance de la voix passive*: c'est une passion du «*je*»
tout d'abord*: au commencement sans qu'il est eu son mot à dire.
Tout à fait sans choix. Comprendre que ce n'est pas le*»je*» qui a choisi*; Sans avoir part au choix.
L'occupation du nom*: au c oeur du langage c'est ce qui le fait "je" être comme situé dans le discours et structuré par lui.
Celui*: je doute de la pertinence de la traduction (dites moi la tournure anglaise dont vous tirez celui)
La deuxième phrase déduit des conséquences par tautologie*: c'est dire la même chose que de dire...
= donc, en conséquence..
«*Je*» entre guillemets pour ne pas le prendre au sens cartésien de source de pensées et d'actes. Ou si vous préférez pour le distinguer.
Produit insiste sur la passivité de ce qui est produit par autre chose (le langage) que lui .
convergence: ils convergent vers le même point
À travers insiste l'entrecroisement des appels à être ce que l'on ne peut choisir d'être.
Ne peut pas s'extraire*: conséquence de la passivité*: pour s'extraire il faudrait prendre de la distance et se confronter à ce que l'on n'a pas choisi d'être. Mais cela semble impossible*: comment quitter ce qui structure*?
Lui-même*: tout seul
cette chaîne*: qui entrave et qui est une suite d'enchaînement. (x liberté)
Historicité*: devenir passé qui nous a fait ce que nous sommes,un triple mouvement d' effraction, de gommage et de réécriture de soi.
qui n'est pas moi*: mais seulement ce que les autres ont fait de moi par de multiples appels (langage)
effraction facilité: intrusion par un bris (violence) Anglais: Breaking in, mais aussi facilité comme capacité ouverte à qui la saisira.
Les enjeux vous apparaissent-ils*?Citation:
", la colonisation n'apparaît plus comme une domination mécanique et unilatérale qui force l'assujetti au silence et à l'inaction. Au contraire, le colonisé est un individu vivant, parlant, conscient, agissant, dont l'identité est le résultat d'un triple mouvement d' effraction, de gommage et de réécriture de soi." http://www.esprit.presse.fr/archive/...php?code=13807
La liberté, la libération*;
Le problème*: comment se libérer des normes culturelles ,et devenir le lieu , la manifestation d'une puissance libératrice si tout est dit et l'on vient trop tard.
2
Ce texte de J. Butler (paradoxalement assez mal traduit ou mal écrit ) va nous permettre d'avancer dans notre problématique sur l'individu.
Je vais proposer des pistes pour mieux le saisir ou le ressaisir.
Pour le moment chacun peut le lire et tenter de se reconnaître dans sa structure temporelle qui le fait paraître ce qu'il n'est pas . et de s'y reconnaître.
«*La compulsion à répéter une blessure ( mémoire traumatique) n'est pas nécessairement la compulsion à répéter la blessure de la même façon »ou à rester pleinement dans l'orbite traumatique de cette blessure.*Citation:
répétition: le retour du même, paradoxalement , est accompagné d'une certaine capacité.L'auteur l'explicite: elle est mobilisatrice. blessure:( psychosomatique) du corps que je suis; effraction, par exemple un viol.Compulsion = impossibilité de ne pas accomplir un acte.; nécessairementt: est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être.;[I] de la même façon I = ce n'est pas que le retour du même
.Citation:
ne pas sortir, se conformer, répliquer , sans écart, ce qui accompagne , l'environnement du traumatisme, par exemple la réaction émotive, la charge affective accompagnant la blessure comme une lune tourne autour de sa planète.
Citation:
L'auteur veut dire que dans la répétition il y a autre chose que la blessure (effraction) et ce qui l'a accompagné (dégoût par exemplr...) . ( ce sera "une certaine capacité" qui est ouverture pour rebondir si on l'exploite.)
La force de répétition au sein du langage peut être la condition paradoxale par laquelle une certaine capacité - non liée à une pulsion de l'ego, en tant que ...- est dérivée à partir de l'impossibilité d'un choix.Citation:
Relisons pour saisir la capacité: ", la colonisation n'apparaît plus comme une domination mécanique et unilatérale qui force l'assujetti au silence et à l'inaction. Au contraire, le colonisé est un individu vivant, parlant, conscient, agissant, dont l'identité est le résultat d'un triple mouvement d' effraction, de gommage et de réécriture de soi[" http://www.esprit.presse.fr/archive
Citation:
"]'impossibilité d'un choix", éclairé par : ne peut être sommairement refusée, mais ne peut pas non plus être suivie dans la plus stricte obéissance
La structuretemporelleCitation:
La forme
d'un tel sujet chiasmiqueCitation:
relevant du temps constitutif
, dans le sens suivant: dans la place du substantiel ou d'un sujet autodéterminantCitation:
le sujet n'est plus qu'un carrefour, un croisement de termes qui se répondent
ce momentCitation:
ce que cela n'est pas, rejet de la conception classique du sujet auteur de ses pensées et de ses actes. La place est occupée par une anbiguïté
de demandesCitation:
cf structure temporelle
discursivesCitation:
exigences
culturelles est quelque chose comme un carrefour,...un carrefour de forces discursives culturelles et politique qui ne peut pas être compris à travers la notion de «*sujet*»Citation:
notes la multiplicité fort embarrassante: il plusieurs choix incompatibles, pour ainsi dire
.Citation:
car le sujet par son autonomie est par définition maître de son oui ou de son non, maître de ses choix.: conséquence: il n'y a pas de sujet antérieur.
Il n'y a pas de sujet antérieur à ces constructions , et il n'est ni le sujet déterminé par ces constructions*; c'est toujours la connexion , le non-espace d 'une collision culturelle, dans lequel l'exigence de signifier ou de répéter les termes précis qui constituent le «*nous*»ne peut être sommairement refusée, mais ne peut pas non plus être suivie dans la plus stricte obéissance.
Ceci est l'espace de cette ambivalence qui ouvre à la possibilité d'un remaniement des termes précis par lesquels la subjectivité procède ou manque de procéder.
1993.
Voici la fin du texte: texte mal écrit ou mal traduit.
Il n'y a pas de sujet antérieur à ces constructions ,
et il n'est ni le sujet déterminé par ces constructions*Citation:
Il n'y a donc que la connexion, le carrefour, l'intersublectivité
Citation:
ni: il n'y a pas, non plus un sujet déterminé par ces constructions; détermine: produit nécessairement = ni retour du même, tautologie déductible.
;Citation:
le "je", fantôme du je cartésien
c'est toujours la connexion , le non-espace d 'une collision culturelleCitation:
connexion ce qui est lié comme dans un chiasme.
, dans lequel l'exigence de signifier ou de répéter les termes précis qui constituent le «*nous*»ne peut être sommairementCitation:
choc de ce qi s'entrecroise
refusée, mais ne peut pas non plus être suivi dans la plus stricte obéissanceCitation:
sans rien d'autre, sans examen, sans choix
.Citation:
comme si c'était déterminé
Ceci est l'espace de cette ambivalencequi ouvre à la possibilité d'un remaniementCitation:
ce où se déploie l'ambivalence : . ambivalence: d'un déterminisme ou d'une capacité, la possibilité de rebondir
des termes précisCitation:
mise en ordre et donc mis dans un sens choisi par l'esprit
par lesquels la subjectivité procèdeCitation:
d'une conceptualisation (?)
ou manqueCitation:
avance par elle même
de procéder.Citation:
ne le fait pas
Citation:
"Là où était ça, je dois devenir" Freud
J. Butler*: Ces corps qui comptent. Routledge, 1993.
Pour voir le texte: http://forum.philagora.net/showthrea...-Besoin-d-aide