les questions philosophiques

bonjour les prépas ! Je suis une collègue actuellement en galère avec "les questions philosophiques renvoient-elles à une sensiblité particulière". Mon interrogation se pose surtout sur la sensibilité PARTICULIERE, dans le sens où est-ce le particulier de tout un chacun, ou particulier dans le sens spécial, que tout le monde n'a pas ? Le verbe renvoyer est lui aussi assez vague. Voilà, si vous avez des idées, je vous en remercie d'avance et je ne manquerai pas de rendre la pareille parce que je sais combien ça peut être prenant. ;)

=orienter, conduire à , obligent à poser la question de...
:?) Mais toute sensibilité semble être particulière...
=d'où la difficulté de penser par soi-même avec les autres sur des questions dont l'origine semble être en partie une sensibilité particulière...
Derrière tout philosophe n'y aurait-il pas un âne?
Voici une aide pour un "autre" sujet ,pour chercher des idées, uniquement(attention au hors sujet)
=>Que vaut notre sensibilité ?<br>
==Vous avez en somme à vous interroger: la sensibilité est-elle un obstacle ou une condition, ce qui peut nourrir chacune des deux premières parties de votre devoir.<br>
Dans la troisième partie: l'obstacle n'<span style="background-color: #FFFF00">est-il</span> pas une condition?<br>
Le terme <b>vaut </b>renvoie à un intérêt de l'homme: connaissance, morale, plaisir<br>
ou encore, l'exercice de la liberté.<br>
Il me semble que cela peut être pris en considération dans votre réponse.<br>
Pour ce qui est de la sensibilité (<b>notre</b> marque, ce dont on peut disposer, ce qu'on a en propre et renvoie donc à l'individu)<br>
Il y a une difficulté: est sensible celui qui possède une faculté: qui est capable de sentir (sensation et perception) ou de sentiments comme dans l'expression: Sophie a une nature sensible, par exemple: comprendre un cœur sensible.<br>
En conséquence: &quot;Le mot même de sensibilité évoque tout à la fois et indivisiblement l'entrée en jeu des sens et celle des sentiments.&quot;
Lavelle, Les puissances du moi, page 77.<br>
==Comme exemple de sensibilité qui fait souffrir vous pouvez prendre dans Rousseau, Emile, Livre V, l'exemple de Sophie qui &quot;est d'une sensibilité trop grande pour conserver une parfaite égalité d'humeur...&quot;<br>
La sensibilité peut donc être un obstacle mais ce peut être aussi, jusque dans les démonstration mathématiques un pouvoir d'intuition... En ce sens Pradines affirme dans son Traité de psychologie, I, page 282 que &quot;La sensibilité représentative n'est qu'une sensibilité affective changée de fonction.&quot;<br>
==Notez que les éclectiques ont opposé la sensibilité à l'intelligence et à la volonté, ce qui permet de cerner un problème comme point de départ. Par ailleurs, les termes désignant les anomalies de la sensibilité semblent bien lui reconnaître de par leur nombre, une valeur.<br>
==Enfin <b>sensibilité</b> peut désigner ce qui permet de mesurer un test par exemple. On parlera de la sensibilité d'un appareil; ce qui , bien entendu vous oriente vers la mesure de sa valeur dans telle ou telle opération. Être insensible n'est-ce pas être inconscient?<br> ©
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philosophique, à se détourner du sensible pour se tourner vers l'intelligible</b>: vu, le problème posé par votre sujet?
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:) :bo)

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