Bergson Essai ChapitreII :fin: -le point-La durée réelle - Les deux aspects du moi
Parce que ce qui rend l'addition possible c'est la pénétration mutuelle et ce progrés en quelque sorte qualitatif.
C'est que l'addition d'un terme provoque une nouvelle organisation de l'ensemble.
Le premier et le dernier mot revient donc à la durée.
Évident: ce qui est évident est vrai.
représentation: ce qui rend présent à l'esprit.
Symbolique: par un symbole: ce qui est jeté avec, ce qui désigne une chose de façon arbitraire et donc ce qui n'a pas de lien avec l'essence de la chose. Autrement dit le symbole révèle en voilant ce qu'il révèle, en l'offusquant.
C'est par la représentation symbolique que le temps paraît un milieu homogène mais c'est parce qu'on confond la représentartion symbolique avecle temps vécu. Il faut donc distinguer.
Notre moi: notez bien qu'il s'agit de deux aspects du même moi, le notre, que ce soit le moi de la surface ou le moi profond, fondamental.
retiennent: important: gardent ce qui ne leur appartient pas: l'extériorité, l'homogénéité.
effet: c'est le rôle important de l'habitude (Bergson lecteur de Hume)
une seule et même personne, un moi et ses deux aspects. Ne pa
Deux aspects: l'identique homogène et le spécifique hétérogène
Comment arriver à l'équivalence de ce qui ne s'équivaut pas? L'aspect identique permet de déployer dans l'espace l'aspect spécifique.
double processus: déployer dans l'espace : identité des termes /spécificité des termes
mouvement: c'est une forme. Déplacement continu à partir d'un point fixe. Nous ne le percevons pas dans sa réalité en soi, ce n'est pas une donnée immédiate.
identité: mêmes termes/même mpbile
Spécificité: l'addition des termesles faits se pénétrer, se compléter et se continuer, ce qui provoque une nouvelle (spécifique) organisation de l'ensemble et un aspect qualitatif, hétérogène.
notre moi: notez bien qu'il s'agit toujours du moi que ce soit le moi de la surface ou celui de la profondeur, du fondamental, le notre.
retiennent: important: gardent ce qui ne leur appartient pas : l'extériorité, l'homogénéité.
effet de l'habitude ( Bergson lecteur de Hume)
Un moi et deux aspects
ils paraissent: ont l'air de, semblent, sont sous un certain aspect..
.se répercute , se propage:
Lisez la suite jusqu'au rêve
une couche:Pour découvrir lle présent vécu il suffirait d'enlever la couverture, en détachant une couche superficielles de faits psychiques.
Or, précisément c'est ce qu'opère le rêve! une soustraction du rôle régulateur de l'espace.
sommeil: perte partielle de contact avec le monde extérieur et donc avec les necessités de la vie pratique: disparition provisoir de la mesure et de son rôle régulateur. C'est le temps des intuitions fulgurantes et des emballements fous.
nous sentons la durée comme donnée immédiate libérées de la langue et de la pratique
elle revient: elle réapparaît libéréede la représentation symbolique
Distinguons:reconnaissons une chose comme distincte de l'autre=> durée homogène-> symbole extensif qui aapport avec l'extensif
durée vraie (veritas index sui) hétérogène (inter pénétration des fais psychologiques)
=> multiplicité numérique
=> multiplicité qualitative
A prendre ensemble, à comprendre;
=> Moi aux états déterminés (8+2=10) ombre de la durée
=>Moi succession organisation, vie durée
" Pour retrouver ce moi fondamental tel qu'une conscience inaltérée l'apercevrait
un effort vigoureux d'analyse est nécessaire...."
Nous y sommes!