Janus, t'a vu l'heure? il est temps d'arrêter tes conneries..
Et pour reprendre le post de françois2, l'accès à son corps relève d'une expérience du massif. La conscience évolue dans un premier moment ombilical dans un univers virtuel, où le rapport à l'objet n'est que théorisé. Sur ce dédoublement entre subjectivité intime et objectivité sauvage, on peut superposer monde intérieur et monde extérieur, monde du théorisé et monde de l'expérimenté.
Bien evidemment le temps de cette expérience est celui de l'adolescence, moment traumatisant d'une rencontre avez son corps et des conséquences dans l'échange avec ceux des autres (euh des idéaux corporels plus que des corps en eux-même...allez pas croire que je fasse l'apologie des tournantes:))..
Et pendant cette période, filles et garçons ne gèrent pas l'évènement de la mêle façon. Les filles ont un contact plus précoce avec leur sexualité, mais sur un mode tamisé, auréolé de jeux divers censés à mettre sous forme de symbole le commerce charnel (scénarios ludiques avec les poupées, comportements théatraux autour de la thématique du docteur).
Les garçons eux développent leur contact ultérieurement, mais sur un mode plus "primaire", plus spontané, moins tamisé. Question de tabou culturel sans aucun doute, mais j'ose entrevoir autre chose..
Quelque chose à chercher autour de l'anatomie, et à ses conséquences dans la symbolisation. J'entends: un organe sexuel extériorisé comme il l'est chez l'homme génère au niveau des mentalités masculines une espèce de fierté dans l'apparat, expliquant à la fois la prise de pouvoir sociale séculaire sur la femme, et la tension perpétuelle qui règne entre les mâles (c'est kiki pisse le plus loin?).. Un peu simpliste certes, mais pas forcément faux..
Chez la femme, la découverte du phallus aux niveaux antérieurs à l'éveil de sa sexualité biologique (phase de puberté), au travers le contact avec des enfants masculins (frères, voisins, etc..), aboutit certaines fois à quelque chose de "traumatisant". Pas du style "t'a vu la bête chérie?" ouinn maman y a un pervers dans les buissons!. Mais "qu'est-ce que c'est que ce truc qu'il a et que je n'ai pas?"
C'est là que se greffe l'écart entre la fierté de l'apparat et le trauma du manque. Fossé qui devra être comblé par toute la mécanique onirique dans les années qui suivront, donnant lieu à la question: comment la femme va combler ce manque?
les chiens aboyent, la caravane passe
[QUOTE=Estelle br]le phallus: le canal ?
pour ce qui est de la sexualité de la femme ( j ai vu que çà à été abordé un peu navrée j ai parcouru en flèches le parcours du combattant ) hum çà c'est mon énergie mâle qui parle n est ce pas ? et sagittaire en plus rhôooo
bon . Oui donc j ai entendu dire ( par contre ce n est pas une statistique ) qu en viron une fille sur deux vivait sa sexualité ( du moins au début en tout cas ) avec les filles.
oui je dis çà parce que çà à été mon cas et apparement cela peut l être pour pas mal de femmes.
à méditer
francois : et ben je veux de senfants moi, mais peut être ne suis je pas philosophe; car après tout ..
" c'est quoi un philosophe ? " :nn
bonsoir Estelle
le plus important est la vie. Une femme sans enfant ne va pas bien. L'homme n'est qu'une voix extérieure, un élément perturbateur de l'équilibre.
Mais chacun est utile à l'évolution. Les deux sont nécessaires à l'adaptation aux conditions extérieures.
en aucun cas, je ne voulais porter atteinte à la dignité de la femme, ni à celle de l'homme d'ailleurs. Et puis ce que j'en dis......
tres chaleureusement