canardenfuri !canardenfuri !
canardenfuri !canardenfuri !
ecoute bien:
la profondeur de l'homme ce n'est pas son intellect( si gigantesque qu'il a l'impression qu'il soit )
(depuis qu'il lance des fusées dans l'espace ,comme on lance un pétard ,la tète lui enfle encopre plus!)
l'intellect c'est le superficiel
par exemple les démons (qu'ils aient une réalité ou pas ,puisque nous sommes en philo...) ont un intellect infini (ils sont trés malins dans leur surface ) mais n'ont aucune profondeur
Car la profondeur de l'homme c'est ...l'amour !
La profondeur du monde c'est aussi ... l'amour!
la profondeur du ciel étoilé ce n'est pas des abscisses et des coordonnés : c'est l'amour !
l'amour est le seigneur incompris du monde
et nietsche (je dois oublier un z) s'est carapaçonné son coeur avec un délire d'une auto suffisance raciste de l'intellect;;;
non qu'il faille etre bète pour etre profond ('au contraire )
mais il faut d'abord aimer,et l'intelligence profonde c'est l'amour (en langage populaire "etre en bonne intelligence ...)
on dit je crois que nietsche a "craqué " en voyant sous ses yeux un cheval se faire battre à mort ( à vérifier )
ses constructions intellectuelles ont été emportées d'un seul coup fondées qu'elles étaient sur le sable
d'ou sa folie quand ses tripes pleines de pitié pour un animal malheureux lui ont fait sentir combien il était homme ...
C'est donc une maxime maximum fausse de rester à la superficie de l'intelligence qui est l'intellect pour éviter l'amour
Si tu es un homme ,si tu n'es pas cet idée volatile qu'évoque ton nom
écoute bien ce que je t'ai dit
ça te servira pour autre chose qu'une note en philo;
(excuse pour le style ,mais je suis malade dans un monde qui se meurt de ne pas aimer )
extrait de mon intro plus plan
voici un extrait de ce que j'ai rédigé en intro:
Nietzsche en une formule paradoxale, souligne -c'est "l'idole" métaphysique et religieuse qui est ici en question- l'éventuelle "épaisseur" de la superficialité. Que le superficiel puisse être profond, l'humour suffit à loe montrer. L'opinion sait aussi que le profond est souvent vain.
Le superficiel peut être le vain et le frivole. Il est alors illusoire, c a d le seulement apparent (leurres, simulacres, artifices dans lesquels ce qui est ne paraît pas et où paraît ce qui n'est pas...).
Mais il peut être aussi ce qui demeure à la surface. Or, celle ci n'est pas seulement la pellicule qui recouvre, mais aussi la limite d'un corps, c a d sa lisière et son seuil (ce qui met 2 corps en contact. ex: la peau). en ce sens, pas de relation sans la surface...
Elle est enfin l'étendue, c a d ce que le regarde embrasse. En tant qu'étendue elle est surface : le lieu qui rejoint ses multiples côtés. Elle est ce qui donne à la diversité l'occasion de se côtoyer.
Le profond quant à lui, sera le secret (caché, occulte), l'absent (objet du désir, manque), le complet (l'un), et l'essentiel (le vari, l'absolu de la chose).
Plan :
I-Apologie de la profondeur
1-illusion, fuite des apparences
2-vanité des apparences
3-le profond peut être superficiel
II-Pour une "ontologie" de la surface
1-l'homme comme être superficiel
2-l' être non comme substance mais comme "ensemble" de fragments
3-d'où la necessité de constituer une morale de la "joie" superficielle
4-unique recours à la nature du langage