S'abandonner au profit d'autrui ou abandonner autrui au profit de soi?
On a coutume de percevoir l'autre comme un moyen lorsqu'il n'est pas un obstacle ou encore lorsqu'on ne lui apporte pas la considération que mérite tout individu qui se respecte. De là, la dualité qui règne à l'intérieur de l'homme entre le fait d'agir pour soi ou conformément à sa morale se conclut souvent par une décision individualiste. Alors le bonheur passe-t-il par l'utilisation de l'autre, la primauté du bonheur de celui-ci ou la conciliation des deux? :P)
J'ai pas trop de temps mais...
Je vous conseille vivement de lire :
Ainsi parlait Zarathoustra (Nietzsche), chapitre: De l'amour du prochain (première partie, p74 +/-) et répenser Lévinas, Badiou et Rousseau.
J' aurrais pas de problèmes a défendre cette thèse qui est la mienne, si je peux me faire le temps
Stgo, Chili