c'est mon choix !

voici mon nouveau sujet de colle de philo ! c'est vraiment déconcertant et j'avoue ne pas savoir dans quel sens prendre le sujet pour eviter de tomber dans les banalités de l'emission de télé !
si vous pouviez me donner quelques tuyaux...

Quelle belle assurance, quelle certitude, trop souvent signe de pensée morte!
Qui choisit?
Sur quoi peut s'appuyer une telle affirmation?
C'est le choix que j'ai fait? Fait par "je"?
Ce que j'ai fait est mien, m'appartient?
Toute conscience est choix ? Spontané (immédiat) ou réfléchi.
Mais l'environnement ne se découpe-t-il pas selon l'être de l'organisme? Toute observation n'est-elle pas construite par la culture de l'observateur?
Alors peut-on dire c'est mon choix , si le choix est déterminé par ma nature ou par mon histoire, une enfance subie.
Analysez le coup de foudre. La passion comme vain effort pour revenir , pour retrouver un passé perdu.
Pour choisir ne faut-il pas avoir le choix? Avons-nous le choix?
===
La conscience est synonyme de choix.  
Mettre devant: est-il vrai que... 
= Est-il juste de dire que conscience signifie hésitation ou choix? 
Commencez par lire le cours sur la conscience <a href="http://www.philagora.net/philo-poche/pochcons.php" target="_blank">http://www.philagora.net/philo-poche/pochcons.php</a> 
et <a href="http://www.philagora.net/philo-poche/pochcons2.php" target="_blank">http://www.philagora.net/philo-poche/pochcons2.php</a> 
Pour comprendre, 
distinguez bien les deux termes hésitation/choix: celui qui hésite n'a pas choisi, celui qui a choisi n'hésite plus. 
 
Hésitation est une condition de la délibération. Un choix peut être
spontané ou réfléchi. 
L'habitude est un choix devenu définitif, fixé pour ainsi dire. 
 
Ceci dit , il semble qu'on vous demande de comprendre et de discuter une des thèses de Bergson dans L'évolution créatrice, chapitre II, page 147. 
Le plan de votre devoir ne pose pas de problème: la première partie explique l'affirmation, la déplie; la deuxième partie en montre l'intérêt; la troisième partie pose une question à l'auteur ou va jusqu'à lui faire une
objection. 
La pente est glissante quand il s'agit de Bergson, attention de ne pas faire un contresens sur sa pensée. 
Première partie: pour comprendre et expliciter l'affirmation de Bergson, il faudrait vous référer au texte qui commence ainsi: "En approfondissant ce point (vous devez donc lire ce qu'il y a avant), on trouverait que la conscience est la lumière immanente à la zone d'action possible ou d'activité virtuelle qui entoure l'action effectivement accomplie par l'être vivant. Elle signifie hésitation ou choix ... ... Elle mesure l'écart entre la représentation et l'action.
===Choisit-on d'être celui qu'on est? 
-Sur l'existentialisme voir aussi: dans <a href="http://www.philagora.net/philodeb.php">http://www.philagora.net/philodeb.php</a>
Jean-Paul Sartre http://www.philagora.net/grenier/sartre.php 
- Condition humaine et intersubjectivité. 
Dans http://www.philagora.net/bacindex.php ANTHROPOLOGIE L'existentialisme: http://www.philagora.net/philo-bac/anthro10.php
Sartre Pour pouvez aussi utiliser :  
Faut il distinguer entre nature humaine et essence de l'humain ? 
Voir tout d'abord dans <a href="http://www.philagora.net/poche.php">http://www.philagora.net/poche.php</a>
le cours sur 
l'existence http://www.philagora.net/philo-poche/pochexis.php 
"Le danger, c'est que l'on puisse confondre notre essence avec notre nature. Mais notre nature, c'est notre
être en tant qu'il est donné... notre essence c'est le meilleur parti que nous pouvons tirer de notre nature; c'est un être idéal qui se trouve enveloppé en elle et qu'il dépend de notre liberté de refouler ou d'épanouir."
Lavelle, Traité des valeurs, I. page 290. 
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merci bcp !