Le temps, l'espace, le Big Bang, l'atome, l'homme, etc. sont des actualisations dans "tout est déjà là", apparaissant dans notre Fente de visibilité.
Printable View
0+0= la tete a toto !
tu sais..moi et les formules...pfffffff
tu devrais aller sur FS generation en astrophysique , ils sont balaises pour les formules..mdr !
oui mais bon....pour créer l'univers a partir de rien il a fallu de la Matiere et de l'Energie , le rien supose qu'il n y eut rien...alors comment la matiere et l'energie fut ?
si rien ne fut nécessaire pour que tout soit alors le rien n'a jamais existé puisque le touffue ! chui logique non ?
mdr....Mdr)Mdr)
bonjour edencourt
Chaque religion peut être interprettée à plusieurs niveaux. Aussi on ne change que la définition des mots.
Aussi en creusant le sens des mots on en arrive à trouver le NOM originel. Il s'agit d'une technique traditionnelle gnostique ou esotérique.
Cependant le NOM trouvé doit me semble-t-il entrer en résonnance avec quelque chose de profond à l'intérieur de Soi et faire frisonner l'être entier.
L'accord est bien dans l'idéal.
Tout ceci pour vous dire ma déception de rigidifier la vérité par un mot. La souplesse et le mystère se palpent et se contemplent sans mot dire.
le mot n'est qu'un signe. L'accord n'est rien sans la sensation.
Aussi desaccord et accord se confondent à mes yeux.
francois
Ps cher ami n'avez vous pas l'impression d'avoir revisité la religion chrétienne. Avec vos mots certes. J'espère que l'Accord vous procure ce que l'on peut appeller de la joie.
Mais un instant, est-ce quelque chose ?
Certes, ce n'est pas une chose, mais admet-on que c'est au moins quelque chose ? Qu'il y a, pourrait-on dire, un être de l'instant, ou plus généralement un être du temps ?
Si on estime que le temps doit faire partie de l'être, et si on pose que tout ce qui est a un commencement (le Big Bang, le temps zéro), alors comment peut-on discuter de ce qui précède ce commencement, puisque le temps lui-même aurait pris naissance à ce moment là ?
Si on estime que le temps doit faire partie de l'être, et si on pose que tout ce qui est a un commencement (le Big Bang, le temps zéro), alors comment peut-on discuter de ce qui précède ce commencement, puisque le temps lui-même aurait pris naissance à ce moment là ?[/QUOTE]
C'est justement ce que l'on cherche à determiner...
Vous voulez dire qu'on cherche à déterminer si le temps est né avec l'Univers ?
Ce qui me trotte avec cette idée de commencement : pour affirmer qu'une chose commence, il faut pouvoir saisir son commencement comme tel (c'est une lapalissade mais tant pis !). Or comment l'affirmer sans poser une durée, même minime, qui précède son commencement, durée pendant laquelle on doit pouvoir affirmer que la chose n'était pas ?
Aussi l'affirmation du commencement d'une chose est-il corrélatif de l'affirmation de sa négation pendant une durée qui à la fois précède l'avènement de la chose et permet de parler d'elle comme d'un commencement.
Mais quand cette chose est l'Univers lui-même, alors l'affirmation d'un commencement est impossible, puisqu'elle poserait à la fois la négation de toute chose et l'affirmation d'une durée.
Bref, je ne fais que reformuler des arguments déjà mentionnés plus haut : mais ne sont-ils pas suffisants à affirmer que l'Univers est sans commencement ?
En quoi la science physique peut-elle, sur cette question, mieux nous renseigner que la philosophie ?
il me semble que quelques pistes sont ouvertes, par les sciences,
dans la mesure où le temps et l'espace sont relatifs (à une matière énergie), rien n'empêche de définir des univers et non pas un seul, des poches, des niches de temps-espace-énergie,
en quoi la philosophie est certes un peu embêtée, mais au fond pas tant que cela ; lorsqu'elle pensait l'Etre, comme une totalité, était-ce réellement l'étendue ou la "rondeur" qui était pensable ?
n'était-elle pas plutôt attachée à définir seulement et rien que d'abord la pensabilité ? (règles et lois et finalités du discours cohérent)
ensuite ça se pose , comme étendue cartésienne par ex, dont spinoza et leibniz ne savent pas bien quoi faire...
mais ça ne rompt pas l'unité philosophique, au contraire , cette unité ("ce que la philo pense, en propre) se sert (là comme ailleurs) du problème pour explorer sa dimension propre.
ceci étant, si l'univers est un espace-temps-énergie, il n'y a rien qui s'oppose a priori à ce qu'il en existe des milliards ... on ne peut pas prédéfinir antérieurement aux sciences ce que la réalité est,
mais on peut savamment se demander (puisque la philo n'est pas en propre attachée à l'espace, temps , etc ) quel est-il donc le contenu spécifique de la philosophie? et d'avancer donc dans cette distinction de son objet essentiel.
La théorie des univers multiples existe, mais la science ne procède-t-elle pas par découvertes succéssives, qui viennent infirmer ou confirmer les théories ?
Pour l'instant, dans le domaine de nos connaissances physiques, la limite demeure le mur de Planck. Inutile d'en imaginer une autre (mais chacun fait ce qu'il veut).Si l'on arrive à la franchir, peut être confirmerons nous la théorie du Big Bang,ou peut être ferons nous la découverte d'une autre, ou d'autreS réalités, c'est tout à fait concevable. Seulement pour l'instant, notre seule certitude connue et prouvée, c'est la constante de Planck, et la théorie la moins farfelue, et la plus proche des realités physiques, c'est celle du Big bang, reléguant une bonne partie des autres affirmations et théories, au registre des spéculations...mais qui sait ? Pour la notion de temps, elle est implacablement liée à celle d'espace, et de matière. Enfin il me semble...smrigole