Ma petite réflexion sur cette société....un essai
Ce que vous allez lire ne vole pas haut, il s'agit juste d'une simple REFLEXION sur la société, je me suis allé à des pensées un peu hasardeuses comme si j'essayais de retrouver quelque chose....peut être pouvez vous me dire là où j'essaye d'aller...je me cherche encore je crois bien ;)
STRUCTURE D'UNE VIE SOCIALE
1/ Un passé où l'innocence n'existe pas.
A) L'innocence
Beaucoup de gens disent que les enfants voir les adolescents sont innocents parce qu'ils sont ignorants...ignorant, mais encore plus inconscient, car en ne prenant pas conscience que l'ignorance peut nous amener à des erreurs, on n'évolue jamais dans notre pensée.L'innocence est devenu de nos jours un moyen de se cacher par des "mauvaises excuses" des mauvais actes fait dans la jeunesse, évidemment, on a tous une conscience mais dire que les enfants le sont par leur ignorance est faux, le savoir et le comportement sont deux choses différentes mais qui se lient. Un enfant n'est jamais innocent, l'innocence, on l'obtient par le développement de sa conscience et sa pensée, de manière à ce qu'un jour, on ne fasse plus d'erreur de communication.
B) Exemple d'innocence
La victime d'actes de jeunes enfants utilisant leur statut d'Innocent pour faire des méchancetés, souvent, le fameux coup de "peau de banane" ou "coup montés" qui met la victime en porte à faux avec les adultes qui voient en la victime, un simple menteur, il est facile de créer les décadences sociales avec des méthodes machiavels, on fait inventer un vol, une magouille, et souvent, la victime, surtout à un jeune âge, se sentira incompris...et pour longtemps.
2/Le temps de la pensée générale
A) Principe de base de la vie en société
Beaucoup de personnes de nos jours se sentent comme seuls, renfermés, parfois "schizophrène" car pour eux, dehors, c'est comme un film irréel, certains voient l'autre comme le "zombi" formaté par notre société matérialiste. Encore plus dur, quand on ne suit pas le chemin de la société en ce qui concerne ne serait ce que même au niveau de notre comportement, l'apparence, on est dénigré, rejeté.
B) Mécanisme de la pensée générale
Beaucoup de gens fonctionnent selon leur mode de vie sans se poser de questions sur le pourquoi du tout, de ce qui se passe, et encore moins, ne se pose pas de questions sur le comment du pourquoi, les causes à la base sans chercher à savoir si le mal rongeant le fait ne vient pas d'ailleurs, d'une partie protégée par un bouclier de culpabilité. Il faut savoir remettre en cause ce qu'on voit au bout du monde jusqu'à son plus proche contact, soi.
C) Les sous-mécanismes de la société
La société fonctionne selon trois valeurs: L'argent, le profit et la communication; mais souvent de nos jours, on a pu le voir dans des faits divers auquel je ne vais cité aucun exemple, à la communication s'ajoute la manipulation, par l'image, les paroles, etc, tout ce qui permet de brouiller le subconscient d'une personne pour lui faire ressortir d'un état de platitude des idées virales, l'influence sans la réflexion apporte la décadence de la personnalité et donc de la possibilité à créer, de soi même, l'originalité.
D) Pourquoi cette société là?
Maintenant, ce système de formatage permet aux Grands de la société, comme aux politiciens, de gérer les foules à leur avantage, l'argent et le mot roi; mais à force de les voir pousser la chose loin, on s'apperçoit de la supercherie, comme s'il avouait le mensonge grace à leur comportement qui fait d'eux, un pantin d'eux même. Même aujourd'hui, les adultes sont pris pour des enfants et les enfants pour des simples d'esprit facile à avoir dans la main.
3/ L'absentéisme des religions
A) Pourquoi la religion?
La religion, comme beaucoup d'autres choses de la société, est une couche culotte pour esprit en retard culturellement, car la religion est la culture de l'évidence et de ce qui doit exister, tel un enfant encore à l'âge où il veut croire que la magie est quelque chose de vraie.
B) La religion dans la société
On peut voir que la religion a une grande influence, peut être parce qu'elle permet aux gens de croire à des choses qu'ils veulent qu'elles soient présentes même si elles ne se manifestent pas, ou jamais. La religion a aussi la possibilité à partir d'une légitimité pathétique de permettre au croyant de ne jamais être dénigré car il est dans la continuité des choses, la naïveté en société et l'absence de réflexion sur les hypothèses. Beaucoup d'adultes restent de grands enfants car ils n'auront jamais appris à prendre les choses concrêtes comme les illusions, avec recul et savoir.
4/ Egocentrisme et ignorance
A) Conflit perdu
On finit dans tout ça, par se perdre dans les relations, amicales ou amoureuses, de la perte de la réflexion, fait l'égo encore plus fort, plus agressif, on est dans un conflit social, souvent égocentrique car on ne sait pas ce qui est dit, intelligiblement, à la place, l'ignorance et la perte de réflexion fait qu'on peut seulement en rester à ce qu'on sait, l'image de ce qui est bien de faire, mais pas forcemment pour l'autre, sans ouverture d'esprit, il ne peut y avoir de contact réfléchi.
B) Guerre et conséquence
A un certain stade, quand on ne sait plus par où prendre la vérité, on en revient à sa propre vérité ou plutôt son mode de vie, on impose alors tel un extrème sa vision des choses et on ne tient plus compte de l'autre, l'égo devient à ce moment là un tyran et à tous les niveaux, il détruit la communication et il est difficile à ce moment là, de faire marche arrière.
5/ La fausse solidarité
A) Solidarité pour le profit
Il a été vu dans l'histoire qu'on était solidaire que s'il y a un retour bénéfique, on fait rarement les choses par désintérêt du profit et quand on le fait, on peut être critiqué. Les esprits saints se renferment quand les gens vivant de cette pseudo égalité arrivent à avoir tous les mérites, grace à la réussite de l'image qu'on veut se donner, celle d'une société équitable et juste. Mais derrière ces méthodes, on a pu voir qu'en passant à travers le filet, on pouvait soi, avoir son ennemi dans la main, soit l'éliminer s'il ne suivait pas les mêmes méthodes, encore pire s'il ne se rend compte de rien.
B) Les responsables
Les reponsables de la dégradation de la solidarité et du partage sont ceux qui pensent que vivre de soi et d'autrui (ou plutot au détriment d'autrui) permet de grimper l'échelle de la société et d'arriver légitimement à un niveau de pouvoir supérieur à celui de l'autre, car au fond, l'homme ne cache plus à la fin le résultat de sa jalousie, sa domination: Le dénigre.
J’ai commencé à lire, puis j’ai voulu écrire,
ainsi concernant :
La STRUCTURE D'UNE VIE SOCIALE
Pourquoi s’entêter à chercher ce qui n’existe pas. Les institutions vaticinent des concepts dithyrambique tels que « se construire à titre individuel» Une société comme celle-ci ne le permet pas. Tout ce qui y est admis n’est que faux-semblant. Personnellement, ce monde ne m’est rien !
1/Un passé où l'innocence n'existe pas.
Qui est innocent d’ailleurs ? Innocent par rapport à quelle situation ? les faits de victimisation et d’impunité rendent la progéniture occidentale globalement exécrable, à l’image d’une parentalité superfétatoire dans un modèle ou tout se fait par procuration. Une société de services ou même le respect se monnaye. L’innocence est le résultat du fait admis, en l’absence de toute responsabilisation quant au sentiment de culpabilité établi par la vacuité du droit. Ce manque endémique d’intelligence comportementale commande à la tolérance par la médiocrité.
2/Le temps de la pensée générale
D’après ce que j’en connais aucune société humaine n’a considéré toutes les tendances et penchants comme égaux. Marginaliser jusqu’à l’hérésie est le combat permanent de la normalisation. La norme est établie par le modèle numéraire dominant, comme une moyenne entre le « trop » et le « trop peu » sur des critères aux fondements énigmatiques mais qui reposent sur une tradition lourde de conséquences pour ce qui est déviant. Que peut être une identité dans une nation sans âme, soumise à un incessant principe catégoriel. Ainsi la sectorisation se veut consensuelle.
A) Principe de base de la vie en société et B) Mécanisme de la pensée générale
Le principe de base est d’acquiescer sans remettre en question. Et mon principe est de rappeler « vos évidences sont mes questions » Las, au-delà de la fin de l’un ou de l’autre les réponses seront absentes. Car de réponses n’y a point. « C’est comme ça ! » demeure la seule réplique non censurée, et témoigne de l’ignorance absolue en termes de justification effective de la validité de notre style de société !
C) Les sous-mécanismes de la société et D) Pourquoi cette société là?
Je parlerais des « 3P » ( Pouvoir, Profit, Populisme ). Il n’est pas infamant de penser que ces inclinations sont un fait naturel de l’humain qui prend l’ascendant sur ces congénères. Les démocraties représentatives sont des oligarchies légitimées par un vote. Les discours varient selon les circonstances, les polémiques divisent sans se montrer constructives, la courtisanerie est de toutes les relations. La communication n’est pas une valeur mais un moyen de faire admettre les « 3P » comme les parangons de la réussite individuelle. Ce qui va à l’encontre de son concept de réseau. Comme quoi, tout et son contraire, peut être admis comme défendable, dans un même but, par une communication rodée à bercer les strates sociétales inférieures dans leurs illusion ! D’ailleurs quid de communication ? Je n’entend à 99% qu’un lancinant monologue…
Que les adultes soient pris pour des enfants, cela se conçoit en rappel de la façon dont est éduqué l’esprit à ne pas réagir en connaissance de cause. N’y a - t’il rien d’autre à apprendre que ce que nous savons déjà. Que l’on lève les barrières de l’autorité arbitraire, que va - t’il rester à nos pauvres adultes pour s’auto-responsabiliser, si ce n’est l’habitude de faire comme si. Comme je l’ai dit plus haut. L’intelligence comportementale est incroyablement déficiente, et qui plus est gérée de manière généralisée par des inconséquents ! Les enfants ne diffèrent guère en ce sens, et leurs codes propres que l’on prétend comme des repères rebelles obligés en phase de transition ne sont que tattoos psychologiques apposés avec des critères éminemment en phase avec le projet sociétal réservé à leur vie d’adulte.
3/ L'absentéisme des religions A) Pourquoi la religion?
Je n’ai aucune notion religieuse. Croire ou ne pas croire en un dieu ou plusieurs est une question qui ne se pose pas à mon intellect. Mon mysticisme à ce niveau est équivalent à celui d’une bactérie. Ce que je peux dire au quotidien, C’est que la religiosité pourrit la vie et que la le concept de laïcité est un non-sens ! Un pays qui pratique la datation suivant un calendrier julien est un pays infecté par l’influence religieuse, incapable de s’en émanciper.
B) La religion dans la société
Frustres et Frustrations : la religion dans le monde d’aujourd’hui est un placebo politico-économique dont usent les ambitieux et autres détenteurs de pouvoirs exécutifs pour s’excuser auprès des frustres de ne pas éradiquer leurs frustrations. La recette est éprouvée et les dieux n’apportent satisfaction qu’aux méritants. Les autres se seront pas en reste…dans l’au-delà ! Et il va de soi que les valeurs méritantes de nos civilisations sont des préceptes divins…
4/ Egocentrisme et ignorance
A) Conflit perdu
le relationnel durable est une quête perdue, parasitée par les intérêts personnels sans grandeur d’âme et en conflit permanent. L’égocentrisme n’est pas plus grand que l’isolement mental qui peut le générer. La pauvreté des relations est telle que l’enrichissement trouve ses ressources au fond de soi-même. Bien sur, cela dépend de ses exigences en termes d’échange et de partage. Que l’on discute sur les conséquences ne fait qu’ajouter à la stérilité du constat. Les causes demeurent immuables. La quête est un but, pas un chemin…
B) Guerre et conséquence
La vérité est à facettes multiples. Laquelle à droit de prééminence sur les autres. L’objectivité est une valeur des plus mal partagée. Ajouté à cela des conflits d’intérêts, et voilà mijotée la recette d’une lutte assurée. Les guerres opposent deux camps ! Une guerre salvatrice serait celle qui en opposerait trois !
5/ La fausse solidarité
A) Solidarité pour le profit et B) Les responsables
La solidarité est une contrainte du fait de la « bonne conscience » par un apprentissage grégaire. Cela n’est pas spontané et inhérent à chacun, et soumis aux variables des valeurs non immuables. Cela étant, la charité tend à se substituer à la solidarité en usurpant son nom. Elles sont pourtant de nature différentes, mais il est arrangeant pour tout profiteur de décliner la solidarité sous forme de charité, car celle-ci est le fait de son bon vouloir tandis que l’autre est indissociable de toute idée d’équité, de justice et même de liberté - valeurs aux cours particulièrement instables et surtout négociables. C’est ainsi que la solidarité pratiquée rend tributaire et dépendant alors qu’elle devrait être que facteur d’équilibre primordial dont nul ne devrait être redevable.
Mais qui demeurerait hermétique à la reconnaissance de son pouvoir ?..