a ceusx qui auront le courage de me lire...
Bonjour..;
je vois que tu n'as pas peur d'aborder des sujets très délicats..
Si tu veux mon avis, il faut prendre en considérations bien des éléments. En vrac :
- chose importante à considérer : nous vivons dans une société qui clairement refuse la notion de maladie et encore plus de mort. On est malade ; il suffit que le médecin prescrive le bon médicament. La mort a t elle une place concrète dan sle vécu des citoyens, ou plutôt, des êtres qui vivent dan s cette société. La mort est souvent cachée, elle nous renvoie à notre prorpre finitude, ce que tout le monde n'est pas capable de supporter.
- comme le mentionne l'article trouvé en lien : une loi autorisant l'euthanasie risque d'entamer la confiance du patient en son médecin, base fondamentale de la relation entre le médecin et son patient.
- que ceux qui font la loi sont bien loin de la réalité au lit du malade : je ne suis pas sur qu'il soit possible de décrire avec des textes de lois un vécu émotif, une relation entre une équipe soignante, un patient mourant et sa famille.
- les conviction personnelles, notamment morales et religieuses, risquent d'infuencer l'équipe et/ le(s) médecin(s) et/ou le patient et sa famille ; ces convictions sont elle scompatibles avec une attitude raisonnable ?
- enfin et par dessus tout, il conviedrait en premie lieu de distinguer les différentes situations où l'on pourrait parler d'euthanasie : injecter une substance mortelle à un patient, à sa demande, dont la vie est devenue insupportable du fait d'une maladie non mortelle ? même cas avec une maladie mortelle ? un patient au delà de toute ressource thérapeutique curative (insuffisance caridque ou hépatique ou plumonaire terminale), dont le soulagement (pas forcément de la douleur) aura pour effet secondaire d'accéler le décès du patient ? et j'oublie encore certainement d'autres situations...
Pour finir, ma psositioin personnelle est que je n'ai aucune position absolue : elle s'adapte à chaque cas, à chaque patient, à chaque famille, à chaque situation patholgique et type de traitement ou absence de traitement envisagé...
Dernière chose, qui me surprend beaucoup dans notre société : on accepte sans broncher l'interruption volontaire de grossesse, d'un embryon sain qui, même si on le considère pas encore humain, ne sera jamais autre chose, sur la seule décision de la mère (aucun avis médical ou social ou moral ne peut s'y opposer) mais l'on soffusque de considérer que, dans certaines situations chez des patients en fin de vie, on puisse envisager de donner la mort...