Si tu avances quand je recule, comment veux-tu, commant veux-tu que je t'encule ?:?)
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Si tu avances quand je recule, comment veux-tu, commant veux-tu que je t'encule ?:?)
Alors ???:Pan:
Sans doute, mais en attendant, ça me fait bien rigoler !lol)
Là se trouve bien l'absurde de l'existence : l'incommensurabilité de l'avancée et du reculage.
tiens ça me souvient un soldat de valmy qui se plaignait que sa baillonnette était trop petite. Son général lui a répondu : tu feras un pas de plus.:D
Amie de la poésie, bonsoir !:bomb
:rolleyes: Non vraiment cette question m'interroge : si tu avances quand je recule, comment veux-tu que je t'encule ?
Plus de réponses pourraient peut-être m'aider dans ma recherche intérieure.
Attends, j'essaie de voir...
Non, rien à faire, je comprends pas.
Ca y est, j'y suis, il faut que je recule aussi. Oui, mais je ne peux l'atteindre. C'est comme la flèche de Zénon, je m'y perds !:bo)