caprice culturel/au secours!
fibule
tu es impressionnant! oulala! je suffoque! je manque d'air, tu respires du carbone toi surement, l'oxygène ce n'est pas pour toi, c'est trop humain et conventionnel. toi tu n'es pas conditionné par la société, tu luttes contre le conditionnement social, tu n'es pas influençable ni médiocre, mais tu es qui au juste! Dieu?! le mouton que je suis t'éviteras désormais.
je ne vois que ça à répondre, le reste est impossible, c'est impossible de débattre avec quelqu'un d'absolu, tu ne comprends rien au discours de l'autre, d'ailleurs il ne t'intéresse pas comme la culture ne t'intérresse pas non plus apparamment...néammoins à mes heures perdues, je chercherais à faire connaissance avec caraco ou montessori. eh oui je ne connais pas! je ne comprend finalement pas grand chose non plus à ton discours et tant mieux. caraco peut-être m'aidera, je lui téléphonerais lol!
olivier
bon courage!lol.
pour ma part je conclus qu' il semblerait que la culture soit plus pulsionnelle qu'intellectuelle à voir nos réponses.
la transcendance est impossible
et donc personne ne peut se soustraire à la société dans laquelle il est née et dans laquelle il vit.
l'anthropologie est aussi orientée, et dogmatique. qu'on le veuille ou non, on ne pense pas sans dogmes, ils nous précèdent, qu'on ait fait des études ou pas, ou kon lise télérama ou "voici" cela n'a rien à voir, il s'agit de l'insconscient structuré comme un langage, là se situe le caractère autonome du langage et des idées qu'il transportent. après il faut savoir le reconnaître. en tant que support du langage, tous les humains sont initiés à 'l'universel, en tant que devant survivre au départ ils ont développé des savoirs-faire, après dans certaines langues le "je" n'éxiste pas, et il y a ici alors différence de forme. Si le "je" n'est pas employé dans une société, on pense alors communautairement, on voit ici que chacun cherche à se distinguer de la masse, et prêche que la société dans laquelle il vit est conditionnée. si l'on pense universel et intemporel, et sans "je", alors on cesse d'accuser la société et l'on se sent responsable, il ne s'agit plus de dire en croyant à son unicité que la société est conditionné et que le soi se détache de la masse avec brio, cela est de l'égo et non plus de la culture.(confer le loup des steppes de hermann hesse)
un même énnoncé linguistique indépendamment des auteurs se retrouvera en philosophie, en psychanalyse, en art, en littérature, dans une discussion arrosée, en histoire, en maths, je ne sais où encore!.....ces énnoncés sont à repérer...et je trouve que la phrase "rien ne se perd rien ne crée tout se transforme" est un de ces énnoncés...avoir un dico de citations engage dans cette voie là...ce sont les acudits...c'est un outil avec le dictionnaire tout court qui suffit à voyager dans tous les espaces culturels, espaces psychiques culturels plutot, avec un certains ordres des mots, des figures stylistiques de prédilection dans chaque domaines culturels...après il n'y pas que de l'abstrait, il y a tous ce qui se situe à nos interfaces corporels, des ébauches dans des savoirs-faire, la main et le verbe voilà la base de la culture, il n'en faut pas plus. si l'on épure au maximum, on voit l'universel dans la main et le verbe, le savoir-faire et le discours, le dynamique et non le statique (la télé éteinte est vide pourquoi la croire plus vivante que nous même au point de nous conditionné!)...la main et le verbe uniquement, c'est ça la culture! et c'est avoir une pessimiste opinion de l'humanité et de la culture, que de faire des dissociations manichéennes (bien/mal, bon/mauvais....) et penser en terme de système. dans l'épuration, il faut voir en plan et comme les énnoncés linguistiques, repérer les mêmes plans, les mêmes schémas, c'est pourquoi j'évoque le cycle.
si d'autres ont repérer un de ces énnoncés, de ces sortes de formules, qu'ils en fassent part, et on pourra voir alors les connotations selon le vécu culturel de chacun.
par exemple en terme de musique, je parlais dans une autre discussion d'analogie entre l'électro et le classique, le jazz et le flamenco etc...
rythmes, énnonces linguistiques phares (étymologie et stylistique), savoir-faire ébauchant une création (la beauté du geste)(un même geste qui peut se retrouver toutes civilisations confondues)= archétypes.
si le coeur vous en dit à vos acudits (confer jean oury :"l'aliènation"). et cessons de nous croire extérieur au conditionnement, stimulus/réponses, on n'y échappe pas au quotidien, il s'agit juste de s'y affranchir de temps en temps en prenant du recul et pour cela rien de tel que l'évasion dans le cycle culturel. la culture est extérieure au phénomène stimulus/réponses (du feu vert par exemple, de la sonnerie du portable...), elle implique l'assertion: "je me pose, je comtemple, je lis ou j'écris mais du moins je sors du métro/boulot/dodo automatique, je décloisonne mon existence". non vraiment s'il y a bien un endroit où on ne sent pas téléguidé ou robotisé c'est bien dans la culture."
le nier relève du snobisme.