la fin des taons, pas des temps espèce de créti€n
Bonsoir cher monstres collatéraux. Je n’ai découvert la suite du débat que ce soir seulement : la qualité philosophique me semble bien présente : ça va enfin un tantinet plus loin que le banal corrigé pour cours de terminale ! François deuxième du nom choie son lecteur, tandis que moi j’ai tendance à le maltraiter ; la remarque « La raison, universalement irrépartie, est devenue le credo de la liturgie républicaine journalière » --> cela me semble très pertinent ! La dénonciation du démon matérialiste me convient, malheureusement que faire contre ce satané principe de réalité – comme l’impuissance qui serait la guise dont l’impossible serait la vérité ? Il me semble que Dugogh a bien pigé le sens initial de ma problématique, je partage avec lui de préférer le fond de la pensée à la forme de l’écriture automatique… Je voulais juste dire un mot sur la réfutation quant à l’hypothèse de simulation numérique du champ de la réalité : elle se fonde sur l’idée que l’univers humain puisse être infini. Mais l’infini existe-il réellement ou alors n’est-il qu’une astuce de logique utile au calcul ? Une astuce apparemment. Sur l’indécidable de savoir si l’univers et fini ou infini, Kant est bien mort, puisque l’univers humain est bel et bien fini --> confère la thèse de l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet :
http://luth2.obspm.fr/~luminet/luminet.php
outre les bugs informatiques de notre réalité virtuelle voulant se faire passer pour réelle, la finitude de l’univers humain est compatible avec l’idée de la simulation numérique : le nombre de particules élémentaires de l’univers humain est certainement inférieur à l’ordre 10**247 (10 puissance 247) et sa combinatoire inférieure à 2**10**247. L’artiste surréaliste préfèrera peindre une toile sans étoiles sur le thème des parties culs elle aime en taire dans le Théo rit que du terme aux nus clés air (des particules élémentaires dans le théorique du thermonucléaire) – pour rappel qu’en écrivant, soyons comme l’assis berne éthique de la cybernétique. Et les marionnettes se marient honnêtement. Au Royaume d’Essieux, on est embraqué dans un Train d’Enfer…
En rapport à l’éthique, à partir du moment où le mal se manifeste, l’hypothèse d’un univers infini, cela serait coextensif à la douleur éternelle : cela semblerait une aberration constitutionnellement inepte, d’où le choix éthique de l’univers fini. Si le contrôle des affects par le système est le seul moyen qu’a une réalité virtuelle de se faire prendre pour réelle, à duper incessamment ses hères par la falsification, la fin des temps semble encore la meilleure option – préprogrammée bien entendue : on retrouve alors le syllogisme en Barbara dans le simulacre du « tout homme est mortel ; Sot-crate est un homme ; donc Sot–crate est mort tel ». En pratique un programme sans fin échappant au contrôle des affects, tout programme doit avoir une fin afin qu’un objet soit saisissable – et si rien n’est plus tangible, personne ne s’en plaindra (sinon les revenants seraient « par minous » !) : le nihilisme impose que pour avoir saisi, il faut pouvoir être saisi à son tour, et on périt par là où l’on a péché conformément au simulacre de réalité (opposition réel / réalité).
Le démon matérialiste à eu raison de moi – le « moi » n’est qu’un soliton en annexe de la théorie ondulatoire : je suis mort tel comme en Sot-cratie. La résistance psychanalytique est partie d’un bug qui n’était autre qu’un accident de moto – où avec brisures de dents et os, je fus reconstitué par un obscène automatisme, en réalisant que la durée n’était que le produit de l’éternité par l’intemporel. Mais – et c’est de là qu’est parti mon ressentiment, on m’administra un produit censé stabiliser mon système nerveux (un numéro 6’t’M), mais semble-t-elle me mutila de la plupart de facultés de visions nocturnes extramultidimensionnelles (au-delà du 4 – D spatial) --> puisque ce n’est que chimie, alors plus rien ne vaut rien : le monde n’est qu’un néant de néants dit à nouveau le ressentiment. Sans artefacts machinaux rendu visibles pour les analphabètes – fût-ce moi-même, je n’aurais pas compris la conclusion de Schopenhauer, à savoir que le monde n’est qu’un néant, mais avec l’évidence de la loi numérique, l’évidence est facile…
Sur cette catéchèse, je vous bénis aux non-dupes errent, Du Fis, dû sain’t’est-ce prix, awomen-toi Sainte-Marie-*****-Dieu, astalavista…
Xénastre un générateur du texte?
Citation:
" cela semblerait une aberration constitutionnellement inepte, d’où le choix éthique de l’univers fini." Que vient donc faire le droit et la constitution dans cette déclaration?
M'ouais, c'est vrai.
Est-il le Xénastre un
générateur automatique d'essais philosophiques?
"Critique de la consubstantialité
Pour une consubstantialité substantialiste.
La problématique de la consubstantialité n'est-elle pas analogue à celle de la consubstantialité?
Nous savons auteur que Descartes particularise la conception subsémiotique de la consubstantialité...."
Les "cancres las" font la l’oie
Rappel : un cerveau en tant que « sert-vaut » indexe l’inaptitude à la liberté entre servir et valoir n’est qu’asservissement, et c’est quoi finalement mathématiquement qu’un « sert-vaut » : un câblage aliéné, une restriction géométrique dénombrable et finie, un artefact éventuel, un système asservi, un ganglion machinal, un PC ou Process Control de Parti Communiste triadique, un appareil de radio-télévision sur automate pneumatique qui fonctionne, un centre analytique produisant du c_a_c_a nerveux, et cætera… C’est moins que rien et rien n’est mieux que rien. J’aurais laid le contester, tout sur Internet n’est que vain soliloque…
N’avez-vous pas compris que les scribogorrhées cartésiennes, kantiennes, nietzschéennes, hégéliennes, sartriennes… n’étaient que le fruit d’automates (puisque le « sert-vaut » n’est qu’un ganglion machinal à compiler des nombres à base 26 des lettres de l’alphabet) : vous introduisez une formule mathématique dérisoirement concise (et tenant en quelques octets) dans la machine à penser, pour que celle-ci vous crache des millions de pages philosophiques, (c_o_n_n_o-zoo-phiques en fait). Bon, voilà une occasion d’arrêter le soliloque là : oki je sors --> reset / exit / erase / back_space, point barre !