Trucs et astuces pour lettres manuscrites de motivation.
Le sujet actuellement ouvert sur la graphologie http://forum.philagora.net/showthrea...&threadid=9646
par Nostradryhus est un débat à bâtons rompus ; par contre celui-ci se propose de débattre des moyens d’optimiser les lettres manuscrites de motivation en utilisant des trucs et astuces générant des indices graphologiques accrocheurs.
Première astuce:
Choisir son instrument d’écriture.
Profitons de l’événement de la rentrée des classes pour observer les clients au rayon des fournitures scolaires.
Ils ont l’embarras du choix:
Stylo à bille à pointe fine, moyenne, large.
Stylo feutre large et souple ou au contraire à pointe rigide…
Stylo à bille montée sur ressort pour « assouplir l’écriture ».
Stylo de dessinateur industriel vendu en coffret pour avoir une palette de largeurs d’écriture.
Stylo de calligraphie adapté à chaque style.
Stylo à plume… ici la liste serait longue... il y a même des boutiques spécialisées!
Sans oublier les crayons, les plumes diverses pour porte-plumes à l’ancienne… Par contre la plume d’oie est absente!
Pourquoi un tel choix?
L’effet marketing me direz-vous!
Certes, mais surtout parce cela répond au besoin en partie « inconscient » de trouver « un stylo adapté à sa main »…
Comme monsieur Jourdain, qui faisait de la prose sans le savoir, les clients en train de choisir leur stylo font de la graphologie sans le savoir: ils sont à la recherche de l’instrument qui rendra l’aspect graphique de leur écriture à leur goût.
Il faut aussi que le stylo soit agréable tant à la vue qu’au toucher, tout en offrant un confort de manipulation.
Aspect graphique.
Le rendu graphique est perçu différemment suivant le lecteur. Pour vous en convaincre munissez-vous de quatre stylos différents:
Un stylo-feutre large.
Un stylo à bille standard.
Un stylo à plume de votre choix (la plume du stylo à plume est classée en principe dans l’une des largeurs suivantes: large, médium, étroit, sachant qu’elle peut être souple, rigide ou moyenne…).
Un crayon papier (là encore noter la dureté de la mine de votre choix: H, B, etc.).
Signez, de signature habituelle, avec chacun de ces instruments, et demandez l’avis de vos proches en posant la question: « Quelle est la signature qui vous plaît le plus et celle qui vous aimez le moins et pourquoi? »
Merci de nous informer de leurs réactions et surtout de nous faire part de vos commentaires. …
Mon expérience concernant votre test des quatre stylos.
Votre sujet m’a intrigué et comme je suis curieux de nature j’ai voulu faire votre test des quatre stylos. Première surprise, je constate que je n’ai pas sous la main un seul stylo à plume large. Par contre ma copine intéressée également par le test en a plusieurs mais pas de stylo à plume fine.
C’est en réunissant nos stylos nous avons pu enfin faire le test.
De l’avis général, ma signature normale faite avec mon stylo fétiche à plume fine est moins présente que la version faite avec le stylo-feutre, préfère ma signature au stylo à feutre large.
J’avoue n’avoir jamais pensé que la vue d’une signature puisse provoquer une quelconque préférence et pourtant je dois constater que même moi j’ai une nette préférence pour ma signature habituelle, n’en déplaise à la majorité.
:yingyang
Une évidence: la plume change le look du graphisme!
Une évidence: la plume change le look du graphisme!
Il est a noter que le choix du look du graphisme existe aussi dans les traitements de texte, ce qui laisse supposer que le graphisme ne laisse pas indifférent une majorité d’entre nous. Au point que certains vont jusqu’à pratiquer la calligraphie!
Mais quelle est donc la raison profonde de ces préférences.
La diversité des réponses est à la mesure de l’étendu du sujet, nous en retiendrons deux:
1°)Objectif:
C’est une question de vision: le myope aura tendance à écrire petit (écriture fine) alors que le presbyte aura une écriture grande.
De même un handicapé visuel préféra une « écriture large » bien visible!
2°)Graphologie:
Plusieurs interprétations possibles:
A°) un rapport avec l’espace
Plus une plume « écrit large » plus il faut de la place pour s’exprimer.
Devant une page blanche, la personne qui va écrire sait inconsciemment ce qu’elle veut obtenir: une page remplie ou au contraire une page aérée.
Sur le plan symbolique, c’est une anticipation de l’usage de l’espace.
B°) un sens de l’épargne :
Oui, le « sens de l’épargne!».
Pourquoi utiliser deux pages si l’on peut tout concentrer en une en réduisant la grosseur des lettres et le cas échéant le choix de mots courts…
Dans le même état d’esprit, pourquoi utiliser une de feuille A4 si ce que l’on à dire peut être exprimé (quitte à serrer un peu le texte !) sur une demi feuille A4.
C°) une expression de l’extraversion ou de l’introversion:
D’autres graphologues émettent plutôt l’idée que celui qui écrit large exprime son besoin de s’extérioriser alors que celui qui a une écriture fine et petite a une tendance naturelle de se concentrer et à intérioriser.
Dans la pratique il est conseillé d’avoir une écriture de taille moyenne: Une sorte d’assurance passe partout!
